Remarques
1. Émigration 1930-1939
-- American Joint Distributed Committee; Dans: J.H.Schoeps
(Hg): Neues Lexikon des Judentums [Nouvel lexique du
judaïsme]; Bertelsmann 1998, p.46-47
Julius Hans Schoeps (éditeur): Nouveau lexique du judaïsme
(orig. allemand: Neues Lexikon des Judentums), couverture de
livre
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Texte
de la page 46:
<American
Joint Distribution Committee, fondé
le 27 séptembre de 1914 par le juïf connu
d'une filiation allemand juïve Felix M.
-> Warburg, pour collectinonner de
l'argent pour aider aux juifs dans des
circomstances misérables dans la guerre.
Administrait le méchanisme de distribution
de la comité américain juïve de sovetage (de
Warburg, L.> (p.46)
(orig.
allemand: <American Joint Distribution
Committee, am 27. 11.1914 von
prominenten Juden deutsch-jüdischer
Abstammung wie Felix M. -> Warburg
gegründet, um Gelder zur Erleichterung des
Elends der Juden unter Kriegsbedingungen zu
verteilen. Verwaltete den Verteilungsapparat
des American Jewish Relief Committees (von
Warburg, L. (S.46)
Le mention de l'émigration juïve de
l'Allemagne:
Text de la page 47:
<Durant
les années 1930 le comité de distribution
américain Joint aidait á émigrer á les juïfs
allemands.>
(orig. allemand: <In den 30er
Jahren half das American Joint Distribution
Committee deutschen Juden bei der
Emigration.>
|
Julius Hans Schoeps: Nouveau
Lexique du judaïsme (orig. allemand: "Neues
Lexikon des Judentums", page 46 avec le
commencement de l'article sur le comité de
distribution américainJoint (American Joint
Distribution Committee)
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Julius Hans Schoeps:
Nouveau Lexique du judaïsme (orig. allemand:
"Neues Lexikon des Judentums", page 47, avec
l'indication de l'émigration des juifs
allemands: <Durant les années 1930 le comité
de distribution américain Joint aidait á émigrer
á les juïfs allemands.>
(orig. allemand: <In den 30er Jahren half das
American Joint Distribution Committee deutschen
Juden bei der Emigration.>)
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-- Y.Bauer: My Brother's Keeper: A History of the American
Joint Distribution Committee. [Le gardien de mon père:
Une histoire du American Joint Distribution Committee].
Philadelphia 1974, chapitre 3, 4, 5 et 6 et aussi la
"Conclusion" (p.303):
Yehuda Bauer, livre "My Brother's Keeper. History of the
American Jewish Joint Distribution Committee 1929-1939",
couverture de livre
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page 303:
<Jusqu'au 1939 à l'aide du JDC et du HICEM et
d'autres il était possible pour 440.0001
juifs de l'Europe centrale à émigrer.>
page 334:
<Note à la fin 1: Source et principalement le
classeur R21, extrait d'un rapport de 1939.>
(orig.:
<JDC, together with HICEM and others, was
involved in the emigration of some 440,0001
Jews from Central Europe> (p.303).
<End note 1: Based mainly on R21, draft 1939
report.> (p.334) |
Yehuda Bauer, livre
"My Brother's Keeper. History of the American
Jewish Joint Distribution Committee 1929-1939",
page 303: 440,000 juifs pouvaient émigrer de
l'europe centrale 1930-1939 |
|
Yehuda Bauer, livre
"My Brother's Keeper. History of the American
Jewish Joint Distribution Committee 1929-1939",
page 334, avec la source, principalement le
classeur R21 du JDC, un extrait du rapport de 1939 |
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-- Encyclopaedia Judaica (1971): Hilfsverein der Juden in
Deutschland (association d'entraide des juifs en Allemagne),
vol. 8, col. 480
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Encyclopaedia Judaica, vol. 8, col. 480:
<Between 1933 and 1941 the Hilfsverein assisted
over 90,000 persons to emigrate to overseas
countries, with the exception of Palestine.>
Français:
<Entre 1933 et 1941 le Hilfsverein (association
d'entraide) assistait à plus que 90.000 personnes
à l'émigration aux pays d'outre-mer, hors de
Palestine.>
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2. Exemple: Marseille
devient "porte de la liberté"
voir l'article "Marseille"; Dans: J.H.Schoeps (Hg): Neues
Lexikon des Judentums [Nouvel lexique du judaïsme];
Bertelsmann 1998, p.549
Julius Hans Schoeps (éditeur): Nouveau lexique du judaïsme
(orig. allemand: Neues Lexikon des Judentums), couverture de
livre
Julius Hans Schoeps (Herausgeber): Neues
Lexikon des Judentums, Buchdeckel |
L'article sur
Marseille dit:
<Durant la
seconde guerre mondiale Marseille fut la porte
á la liberté pour beaucoup des réfugiérs juïfs
(-> Emergency Rescue Committee). Après la
guerre fut une éstation importante pour la
-> Aliya suivante á Israël.>
(orig. en allemand:
<In Zweiten
Weltkrieg wurde Marseille für viele jüdische
Flüchtlinge das Tor zur Freiheit (->
Emergency Rescue Committee). Nach dem Krieg
wichtige Station für die -> Alija nach
Israel.>)
En concret: Beaucoup de juïfs pouvaient partir
de Marseille pour l'étranger à outre-mer.
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3. Exemple: Survivants
dans la cachette
p.e.: Nechama Tec: Résistance armée (allemand: Bewaffneter
Widerstand. Jüdische Partisanen im Zweiten Weltkrieg; orig.
angl.: Defiance. The Bielski partisans). Édition Bleicher,
Gerlingen 1996; Chronologie: "
Schtetl Bielsk" sur
cette site
Nechama Tec: Livre: Résistance armée (Bewaffneter
Widerstand), couverture de livre
4. La création du
mouvement des partisans
Exemple: Survivants dans la cachette: p.e.: Nechama Tec:
Résistance armée (allemand: Bewaffneter Widerstand. Jüdische
Partisanen im Zweiten Weltkrieg; orig. angl.: Defiance. The
Bielski partisans). Édition Bleicher, Gerlingen 1996;
Chronologie: "
Schtetl
Bielsk" sur cette site
Nechama Tec: Livre: Résistance armée (Bewaffneter
Widerstand), couverture de livre
5. La retraite de l'Armée
rouge en 1941 (La "Grande fuite de Barbarossa")
Selon Martin Gilbert se sauvent 1,8 mio. de juifs au centre
de l'Union Soviétique (Gilbert: Endlösung 1982, p.242). Mais
de ces juifs ne survivent pas tous!
La Encyclopaedia Judaica indique que par les déportations de
Staline 1939-1941 et par les évacuations de "la terre
brulée" en 1941 1,5 mio. de juifs qui ont été sauvé de
l'extirpation des juifs NS (tomme 8, colonnes 907-910).
Copie: Encyclopaedia Judaica:
Holocaust,
Rescue from / Rettung vom Holocaust (allemand /
anglais); tomme 8, colonnes 907-910
On peut estimer que au moins ca. 1 million de juifs
survivent la Seconde Guerre Mondiale grâce à la déportation
ou garce à la fuite en 1941 au centre de l'Union Soviétique.
Les morts on doit déplorer surtout du froid en Sibérie et
dans l'Armée Rouge.
6. Juifs fuis qui sont rattrapés
par le régime NS
-- p.e. en Belgique pendant l'occupation de la Belgique en
1940 ou il y a des réfugiés juifs allemands et polonais
-- p.e. au Biélorussie au front oriental 1941
quand des troupes NS rapides rattrapent des réfugiés etc.
7. Des réfugiers juifs qui
se retrouvent sous la loi du régime communiste
Déportations en masse des "ennemies de classe" de la région
frontière près du 3. Reich 1940-1941 dans la Sibérie. Le
même mouvement d'expulsion était déjà réalisé en 1914: Dans:
Encyclopaedia Judaica, les articles des états respectifs
(Russia, Lithuania, Latvia, BSSR); et: Dans la Pologne de
l'est on a 300.000-400.000 fugitives juifs e la Pologne de
l'ouest qui ne veulent pas accepter un passeport soviétique
et comme ça sont déportés dans la Sibérie; article:
Holocaust, Rescue from, in the U.S.S.R.; Dans: Encyclopaedia
Judaica: tome. 8, p.908
8. Mort des juifs pendant
la chasse contre les allemands en 1944 pendant la retrait
de la Wehrmacht
"Chasse contre les allemands": Nechama Tec: Bewaffneter
Widerstand. Jüdische Partisanen im Zweiten Weltkrieg [angl.:
Defiance. The Bielski partisans]. Édition Bleicher,
Gerlingen 1996; p.288-289; Chronologie: "
Schtetl Bielsk" sur
cette site
Nechama Tec: Livre: Résistance armée (Bewaffneter
Widerstand), couverture de livre
9. films
10. Des victimes de morts
juifs dans l'Armée rouge resp. dans l'Union Soviétique
212.500 morts juifs dans l'armée rouge; ce chiffre est
indiqué de J.H.Schoeps (Hg) dans l'article "Militärdienst"
("Service Militaire") dans le lexique Neues Lexikon des
Judentums (Nouvel lexique du judaïsme); édición Bertelsmann
1998, p.567;
Julius Hans Schoeps (éditeur): Nouveau lexique du judaïsme
(orig. allemand: Neues Lexikon des Judentums), couverture de
livre
par contre Benjamin Pinkus estime 2,5-3 mio. de victimes
juifs dans l'Union Soviétique:
"I would estimate that the losses suffered by the Jewish
population totaled between 12.5 % and 15 % of all Soviet war
deaths (2.5-3 million out of the twenty million lost).
traduction:
"Je voudrait estimer que les pertes de la population juive
sont totalement entre 12,5 et 15 % de toutes les morts
soviétiques (2,5-3 mio. de totalement 20 mio. de victimes de
mort). (p.23)
Dans: Pinkus, Benjamin: The Soviet Government and the Jews
1948-1967. A documented study. [Le gouvernement soviétique
et les juifs 1948-1967. Une enquête documentée]. Ben-Gurion
University of the Negev (Beer-Sheva); Cambridge University
Press 1984; Chronologie
"Pogrome,
Diskriminierung,
Kulturausrottung,
Massenmord und Identitätsauslöschung an Juden in Osteuropa
ab 1905" sur cette site
Arno Lustiger donne des informations suivantes:
Lustiger: Livre rouge. Staline et les juifs (orig. allemand:
Rotbuch. Staline und die Juden), couverture de livre
Arno Lustiger: Rotbuch. Staline und die Juden; Édition
Aufbau, Berlin,
-- édition reliée 1998, ISBN 3-351-02478-9;
-- édition de livre de poche 2000, ISBN 3-7466-8049-2
-- 500.000 juifs ont été dans l'armée Rouge (édition relié
1998: p. 149)
et maintenant on a deux indicatinos divers:
-- 160.772 juifs dans l'armée Rouge ont reçu un ordre ou une
distinction (p.13)
-- selon le JAFK (comité antifasciste juif) du
4.4.1946 123.822 ordres (p.162)
-- et selon des statistiques ultérieures 160.772 ordres et
146 juifs sont décorés comme "Héros de l'Union Soviétique"
(édition reliée: p. 151; édition de livre de poche 2000:
p.163).
Lustiger n'indique pas un chiffre sur les juifs morts dans
l'armée Rouge de 1941-1945. Quand on a 160.772 juifs avec un
ordre ou une distinction, il ne semble pas improbable qu'on
a deux à trois fois le nombre de juifs qui ont mourut dans
l'armée Rouge, alors 321.544 à 482.316. Comme ça le chiffre
de 500.000 juifs dans l'armée Rouge semble trop bas.
(Conclusion Palomino)
11. Fuite après 1945 par
l'organisation juive "Bricha" (Berihah)
Dans: J.H.Schoeps (Hg): Neues Lexikon des Judentums [Nouvel
lexique du judaïsme]; Bertelsmann 1998, p.142
Julius Hans Schoeps (éditeur): Nouveau lexique du judaïsme
(orig. allemand: Neues Lexikon des Judentums), couverture de
livre
Encyclopaedia Judaica (1971): Berihah, Band 4:
<The Berihah (Beriḥah) operation which, at the end of
World War II, moved
hundreds
of thousands of survivors of the Holocaust across
the frontiers of Europe to a new life in Erez Israel (Ereẓ
Israel) [[Land of Israel]].> (col. 623-624)
<Beriha's orientation was clearly [[racist]] Zionist, but
there were refugees who declared their preference for
migration to countries other than Palestine.> (col. 631)
<The total number of people who left eastern Europe
between 1944 and 1948 can be estimated at about 250,000, and
of these about 80% at least [[at least 200,000]] came with
the organized Berihah (Beriḥah).> (col. 632)
Français:
<L'opération de Berihah à la fin de la Seconde Guerre
Mondiale mouvait des 100.000iers des juifs survivants de la
persécution des juifs vers les frontières à une nouvelle vie
au pays d'Israël.> (col. 623-624)
<L'orientation était claire [[raciste]]-zioniste, mais il
y avait aussi des réfugiers qui préféraient une autre pays
que Palestine.> (col. 631)
<Le nombre total des gens qui quittaient l'Europe de
l'Est entre 1944 et 1948 peut être estimé à plus ou moins
250.000, et au moins 80% de ce nombre venaient par Berihah
organisé.> (col. 632)
Alors nous voyons beaucoup des 100.000iers de survivants qui
migraient par Berihah au Palestine et à autres pays. Berihah
mouvait les juïfs d'une guerre à une autre guerre,
maintenant contre les arabes. Mais il y avait des juifs qui
voulaient une région plus pacifique et ne voulaient pas
aller dans la piège de guerre qui s'appelle Palestine. Et
cela son seulement les migrants juifs de l'Europe de l'Est.
Les survivants des autres parts européens doivens être
admis.
12. Fuite des juifs en 1945 de
l'Europe de l'est par Roumanie et le mer Noire
p.e. Nechama Tec: Bewaffneter Widerstand. Jüdische
Partisanen im Zweiten Weltkrieg [angl.: Defiance. The
Bielski partisans]. Édition Bleicher, Gerlingen 1996; p.296
Nechama Tec: Livre: Résistance armée (Bewaffneter
Widerstand), couverture de livre
13. DP camps et des personnes DP
(jusqu'à 1953)
-- Encyclopaedia Judaica (1971): Zionism; Vol. 16, col. 1087
Encyclopaedia Judaica (1971): Zionism, Vol. 16, col. 1087
avec l'indication qu'il y avait
100.000ers de survivants juives des camps de concentration
Nazi
Selon des sources juives on avait des 100.000ers des
survivants des camps de concentration:
"The end of the war in Europe in May 1945 [...] was
necessary to aid in the rehabilitation of hundreds of
thousands of survivors of Nazi camps."
Français: "Á la fin de la guerre en mai 1945 en Europe [...]
on devait aider a des 100.000ers de survivants des camps
Nazi."
Le paragraphe complet:
<The end of the war in Europe in May 1945 was followed by
the fall of Churchill. Labour, which replaced him, had in
the past displayed great sympathy for [[racist]] Zionism,
and its party conference had just confirmed its promise to
help the development of the National Home by making room for
it through "extending the present Palestinian boundaries, by
agreement with Egypt, Syria, or Transjordan". This urgent
need for action soon became clear with the disclosure that
it was necessary to aid in the rehabilitation of hundreds of
thousands of survivors of Nazi camps. This could only be
done throuth Anglo-American cooperation.>
Français:
<Á la fin de la guerre en mai 1945 en Europe Churchill
perdait les élections. Puis suivait Labour qui avait des
grandes sentiments pour le zionisme [[raciste]], et la
conférence de Labour seulement confirmait la promesse à
aider à développer une masion nationale. "Par une
amplification des frontières palestinennes on voulait faire
place", en accord avec l'Egypte, Syrie y
Transjordanie. Bientot c'était clair qu'il faudrait
des accions immédiates: On devrait aider aux 100.000ers des
survivants des camps Nazi. Cette aide seulement pouvait être
effectuée par une coopération anglais-américaine.>
(de: Encyclopaedia Judaica 1971: Zionism; Vol. 16, col.
1087)
-- Encyclopaedia Judaica 1971: Zionism; Vol. 16, col. 1058
Encyclopaedia Judaica 1971: Zionism; Vol. 16, col. 1058,
avec l'indication qu'il y avait plus ou moins
un million des survivants juives vivants dans les camps en
Europa en mai 1945
Dans les camps en Europe on trouvait plus ou moins 1 mio.
des survivants juives:
"Perhaps a million Jewish refugees were alive in camps in
Europe in May 1945"
Français:
"Peut-être un million de réfugiés juifs se trouvaient
vivants dans les camps en Europe en mai 1945."
(from: Encyclopaedia Judaica 1971: Zionism; Vol. 16, col.
1058)
Puis on installait les camps DP. Dans des camps DP on avait
un grand travail culturel juif:
-- voir l'article: American Joint Distribution Committee;
Dans: J.H.Schoeps (Hg): Neues Lexikon des Judentums [Nouvel
lexique du judaïsme]; Bertelsmann 1998, p.47
14. Émigration juive directe aux
États Unies après 1945
American Joint Distribution Committee; Dans: J.H.Schoeps
(Hg): Neues Lexikon des Judentums [Nouvel lexique du
judaïsme]; Bertelsmann 1998, p.47
Julius Hans Schoeps (éditeur): Nouveau lexique du judaïsme
(orig. allemand: Neues Lexikon des Judentums), couverture de
livre
15. Appellation du WJC 1945 de
rendre des enfants juifs des familles chrétiennes
Appellation du WJC 1945; Dans: George Garai (éditeur/Hsg.):
World Jewish Congress. 40 Years in Action. A record of the
world Jewish Congress 1936-1976, p.22, 1953: p.34
Garai (éditeur): WJC - 40 Years in Action (40
années en action), couverture du livre
|
Garai (éditeur): WJC - 40 Years in Action (40
années en action), contenu avec l'indication de
Garai |
Garai (éditeur): WJC - 40 Years in Action (40
années en action), page 34 |
<1953 [...] Le
congrès fait une campagne pour le retour des
orphelins juifs pour retourner au centre de
la communauté juive qui avaient été sauvés pendant
la guerre par des catholiques en France, Belgique
et Hollande.>
(original:
<1953 [...] Congress leads campaign for
return to Jewish fold of orphaned Jewish children
saved during war by Catholics in France, Belgium
and Holland.>)
|
16. Soviétisation / russification
des juifs de l'Union Soviétique dès 1948: Ondes de procès,
arrestations en masses, condamnations aux camps de
travail, "procès économiques"
Pinkus:
Pinkus, Benjamin: The Soviet Government and the Jews
1948-1967. A documented study. [Le gouvernement soviétique
et les juifs 1948-1967. Une enquête documentée]. Ben-Gurion
University of the Negev (Beer-Sheva); Cambridge University
Press 1984; Chronologie
"Pogrome,
Diskriminierung,
Kulturausrottung,
Massenmord und Identitätsauslöschung an Juden in Osteuropa
ab 1905" sur cette site:
-- des procès 1948-1953 ("The Black Years", "Les années
noirs"): Pinkus, p.5,21,87,89,163,194-195,507,533;
détentions en masse: Pinkus, p.216; conviction presque
toujours à 10 années "camp de travail": Pinkus, p.196-198
Staline fermait la "Union Soviétique" pour les juifs, et on
avait des ondes avec anti-sémitisme, parce que l'état
sioniste raciste de Israël avait une liaison avec les États
Unies et avec ses services secrèts. Alors l'"Union
Soviétique" avec Stalin se sentait encerclé par les États
Unies et ses alliers. Et les mesures furent graves.
-- autres paquet de procès en 1953 et 1955 encore après
Staline: Pinkus, p.207,208
-- autres procès-spectacles contre des juifs 1961-1963:
Martin Gilbert:
www.martingilbert.com/maps_pdf/map_jewish-history.pdf
Martin Gilbert: Carte de l'Union Soviétique sur
les procès-spectacles contre des juifs 1961-1963
|
Martin Gilbert, portrait |
17. Soviétisation / russification
par la destruction de la culture juive
Pinkus décrit ici le changement de la politique de la "Union
Soviétique" contre les juifs après la fondation de l'état
d'Israël racist sioniste qui avait un régime en
collaboration avec les États Unies et avec le service secret
CIA contra la "Union Soviétique":
Pinkus, Benjamin: The Soviet Government and the Jews
1948-1967. A documented study. Ben-Gurion University of the
Negev (Beer-Sheva); Cambridge University Press 1984, ISBN
0-521-24713-6:
-- vol de l'identité par liquidation des institutions
juives: Pinkus, p.1, 310, 372
-- détention, fermeture, liquidation des journaux juifs,
p.150 (Shtern), p.263 (Eynikeyt)
-- morts des synagogues: p.316
18. Bunkers: Construction
des systèmes de tunnels pour la production des armes
souterraine
--
Film sur la
construction des bunkers: "Das unterirdische Reich - die
geheimen Welten der Nazis" ["Le Reich souterrain - les
mondes secrètes des Nazis"]; Dans: VOX, 9.1.2004,
22:05-0:00; Acheter le DVD: par http://www.polarfilm.de , ou
directement par
Polarfilm
en Allemagne, Tel.
0049-(0)2542-95
13 13; numéro de commande: 7058; le texte allemand
est
ici
Spiegel TV: Film sur DVD: Le royaume souterrain
[orig. allemand: Das unterirdische Reich - die
geheimen Welten der Nazis], couverture
|
Michael Kloft, portrait
|
Michael Foedrowitz, portrait
|
Cherchez aussi avec les mots de recherche sur les machines
de recherche, p.e. sur www.web.de: Bunkerbau Düsenjäger,
Bunkerbau Atombombe, Bunkerbau Eulengebirge, Bunkerbau
Jonastal, Bunkerbau Thüringen, Bunkerbau Panzer etc.
Le thème "construction de bunker" est totalement nouveau et
la situation de recherche peut changer chaque jour. Le média
sont pris à faire des reportages sur ce thème
internationalement parce que la historiographie de la
persécution des juifs et les lieux de la persécution des
juifs et de la destruction des juif change fondamentalement.
-- concernant la résolution de Hitler pour construire des
systèmes de bunkers le 10-10-1940 et constructions de
bunkers en Allemagne de Nord:
Michael Foedrowitz: "Bunkerwelten.
Luftschutzanlagen in Norddeutschland" ["Mondes des bunkers.
Protection aérienne en Allemagne de Nord"], auf
http://www.bunkernetzwerk.de , aussi avec un lien à la
"Bunkerliteratur" [littérature sur les bunkers]
-- un aperçu sur les constructions de bunker pour produire
les armes dans les montagnes en Allemagne (aussi des chars)
et en Pologne c'est http://www.team-delta.de
Wolf-Dieter Holz, Peter Müller,
Annett Jantzen et Jörg Waga, téléphone centrale:
0049-(0)721-151504289 (et il y a aussi des présentations sur
des bunkers dans la CSSR et en Suisse)
-- un aperçu sur les constructions de bunkers du Reich sur
le terrain de l'ancienne RAE donne Patrick Wagner, Chemnitz,
sur http://www.bunkernetzwerk.de/nuke/index.php avec
une recommandation d'un livre "Geheime Bunkeranlagen der
DDR" ["Des installations secrètes de bunkers en RAE"] de
Stefan Best
-- p.e. les ex détenues d'Auschwitz sont employés aux
montagnes d'hibou ("Eulengebirge", aujourd'hui Pologne) ou
l'on a fait aussi des salles avec un hauteur de 8m, avec un
pourcentage mortel de 50 %, p.e. des salles recouvris en
bois: du film de Michael Kloft et Genztaler SpiegelTV à
Hambourg, Tel. 0049-40-301 08 663) et
Michael Foedrowitz,
Berlin (Tel. 0049-30-36 40 98 34): "Le Reich souterrain -
les mondes secrètes des Nazis"; aussi dans: VOX, 9-1-2004,
22:05-0:00; le
texte
du film se trouve sur cette site.
-- des renseignements concernant des tunnels de roquettes en
France et en Autriche et concernant les tunnels en Silésie
et en Autriche etc.: "Verein der Berliner Unterwelten"
["Association des mondes souterraines de Berlin"],
Brunnenstr. 180a, D-13355 Berlin, Tel. 0049-(0)30-49 91 05
17; http://www.berliner-unterwelten.de ; historien:
Jürgen Müller.
-- renseignements concernant tout le système des
constructions des tunnels et des bunkers dans le 3. Reich
(1000 constructions en Allemagne
et dans les
régions occupées): historien:
Michael Foedrowitz, Berlin. Il indiquait en
2004 qu'on a tué les détenues en masse vivant par
dynamisation: On a fermé les entrées par dynamisation, et
aujourd'hui on ne trouve plus les entrées parce qu' on a de
foret là et l'on cherche et cherche, aussi dans la Saxe.
-- aperçu sur les constructions de bunkers et liens pour
organiser une visite:
Harald
Faeth (?), Francfort:
http://www.geocities.com/CapeCanaveral/1325/ (site du
23-5-1997; e-mail: Harald-Faeth@frankfurt.netsurf.de)
-- aperçu concernant les
désignations de code de toutes les constructions de
tunnels: Harald
Faeth (?), Francfort:
http://www.geocities.com/CapeCanaveral/1325/codes.txt
-- plans des constructions de
tunnel "Dachs I", Dachs IV", Barbe, "B7"/"Esche": aussi
là:
http://www.geocities.com/CapeCanaveral/1325/pics.htm
-- sur http://www.turbo.at/geheimprojekte/b_kammler on
trouve des liens avec des plans et des fotos des
constructions de bunker: "B1": "Zement"; "B8":
Bergkristall; "B9": Quarz (avec une présentation du livre de
Markus Schmilzberger: "Was die US Army in der Alpenfestung
wirklich suchte. Eine Theorie zum Decknamen der Anlage
"Quarz" in Roggendorf bei Melk" ["Ce que cherchait vraiment
l'armée des "EUA" dans les forteresses des Alpes. Une
théorie concernant les désignations de code de la
construction "Quarz" à Roggendorf chez Melk", ISBN
3-930219-79-4); "B10": "Quarz II":
-- extrait du livre de "
Rätsel
Jonastal" ["Mystère val de Jonas"] sur des
constructions de bunker "S111" et "Olga" avec des systèmes
de tunnel pour des kilomètres:
http://www.geocities.com/CapeCanaveral/1325/raetsel.txt
-- la site http://www.amberroom.org de 2003 pense que la
chambre d'ambre jaune soit cachée dans les tunnels du val de
Jonas à la Thuringue, et l'on organise des guidages par les
systèmes de tunnel
-- quand on recherche avec le mot "
Jonastal" on trouve un aperçu sur les
constructions de bunkers à la Thuringue, p.e.
http://www.jonastal.de; le livre de
Harald Fäth "Hitlers
Atomwaffen" ["Les armes atomiques de Hitler"] on peut
commander ici: http://www.jonastal.biz chez l'édition
Explorate à Königsfeld, Tel. 07725-91648-12; l'auteur
Andreas Vogt écrit sur
les bombes atomiques qui étaient transportées par l'armé
"américaine" quand la population devait fermer toutes les
fenêtres: http://www.reformnetz.de/Vortrag/jonastal.htm ;
Joachim Hess et
Regine Liebich indiquent
des 1000iers de détenues morts dans la construction des
bunkers dans le val de Jonas:
http://www.mdr.de/doku/421998.html
-- un autre livre concernant la bombe atomique de Hitler:
Rainer Karlsch sur
http://www.factorfake.de/article97.html an
-- construction de bunker dans les montagnes d'hibou
("Eulengebirge") en Pologne:
Joachim Köhler:
http://www.akademie-rs.de/publikationen/hp56_koehler.htm
(plus accessible en 2006)
19a Contrebandiers assassinent
juifs pendant la fuite et les dérobent
p.e. fuite des juifs par les Pyrénées. Plus tard pendant la
guerre les rabatteurs dérobent les juifs et les meurtres;
Dans: Ludger Tewes: Frankreich in der Besetzungszeit
1940-1943. Die Sicht deutscher Augenzeugen ["La France
pendant l'occupation. La version des témoins allemands];
édition Bouvier, Bonn, 1998, p. 179; Chronologie:
"Deutsche
Besetzung Frankreichs 1940 - Deutsche Besatzungsmacht in
Frankreich 1940-1944"
ou: Des rabatteurs ont dérobé les juifs avant le
franchissement de la frontière le long du Lac de Genève;
témoignage dans le film: "Nazigold und Judengold"
["L'or des nazis et l'or des juifs]; télévision suisse SF
DRS, 3-7-1997
19b Des juifs payent pour la
fuite, les contrebandiers rendent les juifs à la police et
les contrebandiers font un profit double
p.e.: Des rabatteurs français le long du lac de Genève
accueillent des juifs avant le franchissement de la
frontière en Suisse et les dénoncent à la police; témoignage
dans le film: "Nazigold und Judengold" ["L'or des
nazis et l'or des juifs]; télévision suisse SF DRS, 3-7-1997
20. Juifs sans nationalité
Exemple: Dès la moitié de 1942 les autorités de l'occupation
allemande en France cherche des juifs apatrides avec l'aide
des autorités françaises et avec la police française; Dans:
Ludger Tewes: Frankreich in der Besetzungszeit 1940-1943.
Die Sicht deutscher Augenzeugen ["La France pendant
l'occupation. La version des témoins allemands]; édition
Bouvier, Bonn, 1998, p. 89; Chronologie:
"Deutsche
Besetzung Frankreichs 1940 - Deutsche Besatzungsmacht in
Frankreich 1940-1944"
21. Fuite 1940-1942 de la
Suisse par la France, Espagne / Portugal aux "États
Unies"
Ziegler:
Livre de Jean Ziegler: La Suisse, l'or et les
morts (orig.: Die Schweiz, das Gold und die Toten),
couverture de livre.
Exemple: Le chemin de fer libre entre Genève et Port Bou
réalise une émigration es juifs de la Suisse d'un
fourgon plombé par semaine entre la moitié de 1940 et la
fin de 1942. Le fourgon va à Lisbonne et comme ça les
juifs réalisent la fuite; Dans: Jean Ziegler: "La
Suisse, l'or et les morts";
édition Bertelsmann 1997, édition allemande p.69; Chronologie:
"Die
Bankgeheimnis-Schweiz für das 1000-jährige Reich"
sur le ch-index.
Martin
Gilbert indique dans son livre "La solution finale" (édition
allemande "Die Endlösung", p. 242) concernant la Grande
fuite avant Barbarossa: A coté de 300.000 survivants dans
des camps de concentration survivaient encore presque 1,5
mio. autres juifs européens.
Si l'on employait les lois de Nuremberg
aussi dans des autres pays NS reste à enquêter.
Dans les
pays NS après 1941 comme Biélorussie et Ukraine une
persécution des demi juifs, quart juifs et 3/4 juifs n'était
pas possible parce que les églises étaient détruites depuis
1921, et parce que l'armée Rouge avait emmené toutes les
documents durant la "Grande fuite avant Barbarossa" au
centre de la Russie. Dans les états Baltes pourraient eu
existé encore des documents de l'église parce qu'on avait là
seulement une courte occupation communiste (information
téléphonique de Bernhard Chiari du 26.9.2007).
Un grand part des juifs qui avaient
restés (juifs pas organisés, pauvres, juifs qui ne
voulaient pas quitter leurs parents etc.) étaient exécutés
par trois ondes d'exécution 1941-1942.
La persécution des juifs en Europe de l'est nazi avait
lieu par étapes par des ondes d'exécution divers et des
"grandes actions", selon les lieus aux dates divers.
Á la fin on avait concentré les peux juifs restantes dans
un bâtiment d'administration comme prison de nuit etc.
28. Mort en masse dans le
ghetto polonais: Préparation du mort en masse par vieux
l'antisémitisme polonais avant 1939
-- Y.Bauer: My Brother's Keeper: A History of the American
Joint Distribution Committee. [Le gardien de mon
père: Une histoire du American Joint Distribution
Committee]. Philadelphia 1974, chapitre 3, 4, 5 et 6 et
aussi la "Conclusion" (p.303):
Yehuda Bauer, livre "My Brother's Keeper. History of the
American Jewish Joint Distribution Committee 1929-1939",
couverture de livre
Le mort en masse dans les ghettos en Pologne 1939-1942
était provoqué aussi par l'antisémitisme du gouvernement
polonais avant 1939. La population juive dans la Pologne
antisémite était partiellement très mal-nourrie déjà avant
1939 et déjà en 1936 50 % des juifs polonais vivaient
comme des squelettes vivantes.
Yehuda Bauer, Buch "My Brother's Keeper. History
of the American Jewish Joint Distribution
Committee 1929-1939", Seite 189
|
Yehuda Bauer:
< La destruction de la vie économique juive
avait des conséquences graves sociales et
médicinales. Sholem Asch, l'écrivain juif fameux,
indiçait que "les gens donnaient l'impression
comme ils vont être enterrés vivement. Chaque
seconde personne était mal-nourri, squelettes avec
peau et os, estropié, candidats pour la tombe".
(Note finale 33: "Le pleureur à la fête
matrimoniale" (orig.: "The Mourner at the Marriage
Fete"), octobre 1936; Dans: WAC, Box 366 (c)
On devrait rappeler que ça était écrit trois
années avant le commencement de la Seconde Guerre
Mondiale [en Europe].> (p.189)
(originale:
<The deterioration of Jewish economic life led
to serious social and medical consequences. Sholem
Asch, the famous Jewish writer, claimed that
"people made the impression as if they were buried
alive. Every second person was undernourished,
skeletons of skin and bones, crippled, candidates
for the grave".
(End note 33: "The Mourner at the Marriage Fete",
October 1936; In: WAC, Box 366 (c)
It should be remembered that this was written
three years before World War II [in Europe]
began.>) (p.189)
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
|
Conclusion Palomino:
La malnutrition des juifs polonais par des années avant
septembre 1939 était une des causes principales que puis
1939-1941 les juifs polonais dans les ghettos sous le régime
NS recevaient en masses des maladies contagieuses. Ils
n'avaient pas des réserves et des forces de défense. Par
conséquence ils mouraient en masses. C'est drôle que jusqu'à
aujourd'hui l'antisémitisme polonais et ses effets sont plus
ou moins un tabou dans les média.
29. Fuite par la Manche en
Angleterre
dans: Yehuda Bauer, livre: "My Brother's Keeper. History of
the American Jewish Joint Distribution Committee 1929-1939",
page 271 et note à la fin page 331
Texte (Français):
<Durant les derniers mois avant le commencement de la
guerre on avait une petite immigration même en Angleterre.
C'est symptomatique qu'on avait des rapports sur des marins
britanniques qui exécutaient des immigrations comme ça, et
les juges britanniques penchaient au renseignement ne pas
déporter des immigrants pareils.(p.271)
Note à la fin 131: 31-Germany, refugees, 1939-42, 2/21/39,
Adler à Borchardt> (p.331)
(original:
<During the last months before the outbreak of war,
illegal immigration was attempted even into Britain on a
small scale. It is symptomatic that British sailors were
reported to have facilitated such immigration and that
British judges were inclined to recommend that such
immigrants not be deported.> (p.271)
End note 131: 31-Germany, refugees, 1939-42, 2/21/39, Adler
to Borchardt> (p.331)
Thesis Palomino:
Probablement c'est comme ça que la fuite par la Manche
restait ouverte aussi 1940-1945 parce que dès 1941 la guerre
se concentrait vers le front de l'est et les forces
aériennes anglaises et "américaines" dominaient totalement
l'espace aérien de la Manche.
30. Non Aryens: Demi juifs,
quart juifs et 3/4 juifs
-- Yehuda Bauer: My Brother's Keeper: A History of the
American Joint Distribution Committee. Philadelphia 1974,
ISBN 0-8276-0048-8, p. 189
Yehuda Bauer, livre "My Brother's Keeper. History of the
American Jewish Joint Distribution Committee 1929-1939",
couverture du livre
Depuis 1935 le nombre des juifs persécutés en Allemagne
(Vieux Reich) augmente de 499.682 à 760.000 parce que
260.000 personnes sont registrées comme non-Aryens comme
demi juif, quart juif ou 3/4 juif selon les lois de
Nuremberg (p. 114).
Texte
original
(en anglais)
En Autriche dès avril 1938 au moins 150.000 personnes sont
exposées à la persécution des juifs comme non-Aryens comme
demi juif, quart juif ou 3/4 juif selon les lois de
Nuremberg (p.228).
Texte
original
(en anglais)
31. Chiffres concernant la
persécution des juifs: Apprendre à calculer
1937
Nombre des juifs dans le monde 1937: 16 millions.
original:
"By 1937 the dispersion of the 16 million Jews in the world"
(de: History; Dans: Encyclopaedia Judaica 1971, vol. 8, col.
733,
ici)
Traduction:
"En 1937 on avait une dispersion de 16 millions de Juifs
dans le monde."
1945
Plus ou moins 50% des Juifs habitent au continent
"américain".
original:
"After the Holocaust about 50% of the Jews were living on
the American continent."
(de : History; Dans: Encyclopaedia Judaica 1971, vol. 8, col
733,
ici)
Traduction:
"Après le Holocaust plus ou moins 50 % des Juifs vivaient au
continent américain."
1970
Nombre des juifs dans le monde 1970: 14 millions.
(original:
"Among approximately 14 million Jews in the world in 1970"
[...] Western Europe in 1970 numbered more than one million
Jews, of whom about half a million were living in France and
about 450,000 in Great Britain. The Soviet Union numbered
approximately three million Jews;)
(de: History; Dans: Encyclopaedia Judaica 1971, vol. 8, col.
733,
ici)
Traduction:
"En 1970 on avait plus ou moins 14 mio. de Juifs [...] Dans
l'Europe de l'ouest on avait plus d'un million de juifs,
plus ou moins un demi million vivait en France, et plus ou
moins 450.000 vivaient au Grande Britanie. Dans l'Union
Soviétique vivaient plus ou moins trois millions de Juifs."
32. Granulat de cyclon B a
un effet seulement dès 27°C - et d'autres facteurs pour
d'autres sortes de mort
dans: Jean-Claude Pressac: "Les crématoires d'Auschwitz"
1997
Cela n'importe pas si l'on emploie 1 kg ou 100 kg de
granulat de cyclon B, l'effet commence seulement dès 27°C
(27 degrés).
(indication d'un ex officier suisse juif pendant une
conversation avec l'auteur)
Le granulat a des grains rustres avec une surface
irrégulière de sorte que les grains du granulat peuvent se
bloquer rapidement dans des inflexions des tubes et peuvent
bloquer le tube. La probabilité que le granulat de cyclon B
était mis par des conduites d'eau minces dans des pommeaux
de douche n'est pas très probable.
(indication d'un ex officier suisse juif pendant une
conversation avec l'auteur)
Les rapports disent que le granulat avait tombé par les
pommeaux de douche dans la salle de douche ce qui n'est pas
possible parce que les grains du granulat ne peuvent pas
passer les petits trous des pommeaux de douche.
Pour un gazage on a besoin d'un local imperméable à gaz de
manière que le gaz ne puisse pas s'échapper. Des salles des
morts ou des salles des douches ne semblent pas été
imperméable à gaz, et on a pas d'indication que les salles
étaient construits imperméables à gaz.
On a des rapports que le mort à gaz des prisonniers par le
granulat de cyclon B avait été exécuté dans des caves
froides demi sous-terrains ou l'on a guère de 27°C aussi en
été. Comme ça l'application du granulat de cyclon B pour le
mort en masse devient moins probable en plus. C'étaient des
anciennes salles des morts qui étaient délibérément
construit de manière qu'il ne faisait jamais chaud
là-dedans.
Concernant des films d'Auschwitz des années 1970 le part
principal des morts en masses en Auschwitz avait été exécuté
pendant l'hiver polonais 1944 / 1945 ou une température de
27 °C est encore moins probable. Pendant l'hiver polonais on
peut admettre une température moyenne de 10 °C au-dessous de
zéro. Le granulat de cyclon B n'a pas d'effet.
En somme il manque la simulation du scénario avec des
animaux avec la thermométrie.
Pour ça toutes autres sortes de mort sont sûres et prouvées
qui aussi résultent en 4,5-6 mio. ou même plus que 6 mio. de
morts. Le mort en masse par le travail forcé au territoire
du Troisième Reich est bien plus probable et indépendant des
températures quand on considère les constructions des
tunnels. Cela correspondrait aussi au logique de
l'efficacité mortelle du Troisième Reich et est prouvé par
des documents. Il reste inclair pourquoi les accès des camps
n'avaient jamais été bombardé parce que aussi les sortes de
morts prouvés étaient encore assez horrible dans les camps:
fusillage en masse, mort par froid, mort par inanition,
épidémies. Et aussi avec ces sortes de morts Auschwitz reste
un centre de la persécution des juifs et de la persécution
des juifs. En plus on doit considérer une quote-part de mort
plus haute dans l'Armée rouge et touts les autres facteurs
du tableau.
Les avocats générales, les femmes avocats générales, et les
juges et les femmes juges sont tout ensemble trop
incroyants, trop paresseux ou trop surchargés pour se mettre
au courant de la nouvelle littérature de la persécution des
juifs. Formation continue n'est pas payé de l'état non plus.
Les hommes de la justice insistent sur le granulat de cyclon
B comme moyen de mort central dans la persécution des juifs
parce qu'ils ne peuvent pas s'imaginer que le mort en
masse avait été possible aussi autrement. Comme ça les
hommes de la justice défendent leurs livres d'histoire de
ses professeurs d'histoire. Et l'on a aussi un grand
pression de groupe dans la justice. La censure est absolue.
La justice simplement refuse toutes les preuves pour les
autres sortes de morts. Tant que le salaire n'est pas réduit
la justice ne se sent pas stimulé pour changer quelque chose
concernant cette pratique judiciaire têtue.
Comme ça beaucoup des gens sont persécutés pour granulat de
cyclon B bien que ça ne soit pas nécessaire.
(Conclusion par Palomino par persécution politique)
33. Des enfants juifs pas
nés à cause de la mort des parents futurs ou à cause de
l'infertilité des femmes juives survivantes
Indication des connaissances de l'auteur.
Quand on vive au minimum par des années les corps changent
le fonctionnement et les femmes n'ont plus sa menstruation.
Pendant des années ça peut provoquer des dommages corporels
pour toujours, et comme ça beaucoup des femmes juives
n'étaient plus capable à donner la vie à un enfant après la
guerre.
é
Comme chaque année le nombre des enfants pas nés augmente on
ne peut pas faire des estimations.
Calcul de projection sans exigence de justesse:
Quand on estime seulement 500.000 filles et femmes juifs qui
ont mourut comme enfant resp. comme femme fertile ou avaient
devenu infertile qui auraient reçu 5 enfants juifs, de
lesquelles statistiquement 2,5 filles, de lesquelles 2
auraient reçu de nouveau 5 enfants, on a des chiffres comme
ça: 1.000.000 fois 5, fait 5.000.000 d'enfants juifs
auxquelles le judaïsme était réduit pendant deux générations
après 1945.
34. Des enfants juifs pas
nés dès 1945 parce que les filles qui ne sont plus rendus
des familles chrétiennes ne donnent plus naissance aux
enfants juives
Pendant la persécution des juifs beaucoup de familles juifs
donnaients leurs enfants aux familles chrétiennes pour que
les enfants ne subissent pas la persécution des juifs. Comme
ça les enfants recevaient und éducation chrétienne et
souvent n'étaient par rendus après 1945 parce que les
parents avaient mourus ou émigrés. Dans les cas les derniers
ou similaires intermédiait le Croix Rouge. Les organisations
juifs appelaient souvent en vain pour rendre les enfants.
Les enfants - qui souvent portaient des noms chrétiens
maintenant - grandissaient christianisés maintenant et comme
parents elles recevaient des enfants chrétiens au lieu de
juifs.
Comme avec chaque année le nombre des enfants juifs qui
n'était pas né subit on ne peut pas faire une estimation ici
non plus. On pourrait demander le nombre des enfants pas
rendu chez les organisations juives.
Calcul de projection sans exigence de justesse:
Quand on estime 50.000 filles juifs qui ainsi étaient
christianisées, et chaque fille aurait reçu 5 enfants juifs,
de lesquelles statistiquement 2,5 filles, de lesquelles 2
auraient reçu de nouveau 5 enfants, on a des chiffres comme
ça: 100.000 fois 5, fait 500.000 d'enfants juifs auxquelles
le judaïsme était réduit pendant deux générations après
1945.
35. Mouvement d'émigration
de l'Europe nazi de 1933 à 1939
Hitler organisait une pression énorme contre les paroisses
juifs et ainsi on avait une émigration de la moitié des
juifs du Troixième Reich de l'Allemagne entre 1933 et 1939.
Un grand part émigrait aux états d'outre-mer ("EUA",
Paléstine, Caribie, Amérique du Sud etc.). Le lexique juif
Encyclopaedia Judaica tome 7 colonne 491 indique
généralement les dates suivantes:
[Table
d'émigration des juifs pour 1933-1939: chiffres
d'émigrations des juifs de l'Allemagne Nazi]
Français:
Émigration des juifs de l'Allemagne entre avril
1933 et may 19391,
inclusivement les territoires occupés par
l'Allemagne jusq'au mai 19391 [[avec Autriche et
Tchèquie]]
1chiffres éstimées
(orig. English: Emigration of Jews from Germany
in the Period April 1933 to May 19391,
including Areas occupied by Germany by May 19391
[[with Austria]]
1Estimated figures)
|
Pays
d'acceuil (Country of Reception)
|
No.
des immigrants allemands [[juifs]]
(No. of German [[Jewish]] immigrants)
|
EUA (U.S.A.)
|
63,000xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
|
Palestine
(Palestine)
|
55,000xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx |
Grande Britannie
(Great Britain)
|
40,000xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx |
France
|
30,000xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx |
Argentine
(Argentina)
|
25,000xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx |
Brésil (Brazil)
|
13,000xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx |
Afrique du Sud
(South Africa)
|
5,500xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx |
Italie (Italy)
|
5,000xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx |
autres pays
européens (other European countries)
|
25,000xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx |
autres pays de
l'Amérique du Sud (other South American countries)
|
20,000xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx |
pays de
l'Extrême-Orient (Far Eastern countries)
|
15,000xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx |
autres (other)
|
8,000xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx |
|
|
Total
|
304,500xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx |
de: Germany; In: Encyclopaedia Judaica
(1971), tome 7, col. 491
|
La feuille originale de l'Encyclopaedia Judaica avec la
table on peut lire ici:
http://www.hist-chron.com/eu/D/EncJud_juden-in-D-d/EncJud_Germany-band7-kolonne491-492.gif
Le texte de l'Encyclopaedia Judaica avec la description de
l'organisation de l'émigration par des congregations juives,
par l'accord Ha'avara (accord haavara) et la table de
l'émigration sont présenté ici:
http://www.hist-chron.com/eu/D/EndJud_juden-in-Deutschland-05-3R-1933-1939-ENGL.html
L'accord Ha'avara (accord Haavara) de l'août 1933 est décrit
specialement ici en détail:
http://www.hist-chron.com/judentum-aktenlage/hol/EncJud_haavara-agreement-1933-ENGL.html
Il existe une autre table de Yehuda Bauer dans son livre du
Joint Distribution Committee. Cette table indique
l'émigration des territoires du Troixième Reich entre 1939
et 1939 et indique 440.000 juifs qui ont émigré
officialement, assistés par le HICEM et par le Joint, voir
ici:
http://www.hist-chron.com/judentum-aktenlage/hol/joint/Bauer_joint07-schlussfolgerung-440000-ausgewanderte-juden-D.html
Et aussi l'article "Migration" de l'Encyclopaedia Judaica
indique clarement une grande onde d'émigration de Europe
Nazi:
http://www.hist-chron.com/judentum-aktenlage/migration/EncJud_migration03-1915-May-1948-ENGL.html
L'émigration continuait aussi après 1939, avec des
dimensions plus petites, mais toujours, et depuis 1944
l'émigration augmentait encore une fois, directement de
l'Europe de l'Est par le mer Noir, ou après 1945 par Europe
Central aux pays de l'outre-mer. En plus on avait en 1939 un
grand mouvement d'exode vers l'est à la zone russe de la
Pologne. En 1940 on avait une grande fuite de l'Europe de
l'Ouest au sud de la France (France de Pétain) et dans la
zone italienne de la France. En 1940 et 1941 on avait des
déportations dans les territoires occupés par l'Union
Soviétique sous Stalin de 1939 - Stalin laissait déporter
touts les ennemies de la classe, avec beaucoup des juifs. Et
en 1941 on avait la grande fuite de Barbarossa vers le
centre de l'Union Soviétique. Touts ces mouvements d'exode
sont absolument niés jusqu'à aujourd'hui (2010) par la
justice de l'Allemagne, de la Suisse et en France, pour
affirmer toujours encore 6 mio. de juifs assassinés sous
Hitler (désaveu de l'émigration).
On a encore plus d'émigrations parce que les tables
décrivent seulement l'émigration officielle, mais les
émigrés inofficielles ne sont pas encore inclus. En même
temps on doit respecter que beaucoup des émigrés seuelement
arrivaient dans des pays voisins, France et Benelux, et
fuirent déportés depuis de 1940 resp. en France de l'Est et
Sud-Est depuis de 1942/1943 sous la loi Nazi. Aussi ces
déportés n'existent pas dans les tables. Et en Suisse on
avait des cas des juifs qui s'avaient sauvé mais la police
des affaires étrangères Suisse a transféré des juifs autre
fois en Allemagne. On doit soustraire ces cas des émigrés en
Suisse. Peut-être concernant la Suisse ce sont env. 2.000
cas. Des chiffres pécises peuvent présenter les historiens
locals suisses.
Des exemples contrêtes de
l'émigrations des territoires Nazi 1933-1939
Jusqu'à aujourd'hui la justice en Allemagne, en Suisse et en
France nient l'émigrations d'un part des juifs entre 1933 et
1939. Mais on peut trouver beacoup des exemples pour cette
émigration dans la litérature. Mais la justice allemande,
suisse et française cachent ces faits jusqu'à aujourd'hui
d'une manière criminelle. Ainsi la justice refuse la
formation permanente. Ici j'ai présenté des exemples pour
l'émigration des juifs entres 1933 et 1939, continuant
jusqu'au 1941, et recommençant en 1944/1945. Ce sont des
exemples de seulement deux tomes de l'Encyclopaedia Judaica,
les tomes no. 11 et no.12. Depuis l'année 1948 on a une
nouvelle migration des juifs, une migration au Palestine au
cours de la grande euphorie d'Israël. On n'aurait pas du
tout été capable à constituer létat d'Israël quand on
n'aurait pas eu l'émigration massive des juifs depuis
l'année 1933. Mais beaucoup des détectives et des juges
n'avaient pas une seule page du lexique de l'Encyclopaedia
Judaica dans leurs mains parce que ces gens arrogants
refusent la formation permanente pensant que la formation
permanente ne serait pas nécéssaire, et parce que le salaire
est aussi payé sans formation permanente - n'importe pas si
le jugement sur la persécution des juifs est juste ou pas.
Naturellement cette "manière de travail" est un scandale, et
tout ça est bien payé par les contribuables - et ainsi c'est
un scandale double...
Émigration de Luxembourg
Par exemple il y a l'article sur Luxembourg:
Durant l'invasion de la Wehrmacht on a une grande fuite des
juifs vers la France:
<At the time of the invasion of Luxembourg on May 10,
1940, over 1,000 of the 4,000 Jews in the grand duchy (among
them about 1,000 refugees) managed to flee to France.>
(Français: "Durant l'invasion de Luxembourg le 10 may 1940
plus que 1.000 des 4.000 juifs du grand-duché (entre eux
aussi env. 1.000 réfugiés) parvenaient à arriver en
France.")
Pour la grande majorité des cas cette fuite était une fuite
jusq'à la France du Sud sous Pétain. Puis Luxembourg était
aryanisé:
<After the German annexation, discriminatory racial laws
operating throughout the Reich were extended to the grand
duchy (Sept. 5, 1940), and 335 commercial enterprises were
handed over to "Aryans".>
(Français: <Après l'annexation allemande on introduisait
la loi raciste discriminatoire du Reich aussi dans le
grand-duché (5 séptembre 1940), et des 335 sociétés
commerciales étaient intitulés aux "Aryens".>)
Puis le régime nazi augmentait la pression contre les juifs
restantes en Luxembourg pour provoquer encore plus
d'émigration:
"On Sept. 13, 1940 the *Gestapo announced that all the Jews
would be deported on the following Day of Atonement if the
consistory did not succeed in arranging their
emigration prior to that
date. Due to the consistory's efforts, particularly through
a petition sent to *Himmler, this measure was postponed, but
emigration remained
the sole road to survival. Between Aug. 8, 1940 and May 26,
1941, when Rabbi Serebrenik was forced to leave in peril of
his life, 700 Jews possessing more or less authentic visas
fled overseas. In another operation, about 1,000 people were
secretly evacuated to France in small groups."
(Français: <Le 13 séptembre 1940 Gestapo annonçait que
touts les juifs vont être déportés le Jour de l'Expiation
suivant (Yom Kippour) quand n'organisaient pas leur
émigration. Par des efforts juifs, surtout par une pétition
a *Himmler, cette mesure fut ajournée, mais l'émigration fut
la seule solution pour survivre. Entre le 6 août 1940 et le
26 may 1941 - le jour quand rabbin Serebrenik perdait sa vie
- c'étaient 700 juifs qui avaient réussi à se sauver vers
des pays d'outre-mer avec des visas plus ou moins originaux.
Dans une autre opération on evacuait 1.000 personnes
clandestinement en petites groupes vers la France.>)
Alors on avait encore des 850 juifs en Luxembourg, et 127
des eux émigraients encore, et à la fin c'étaients des 723
juifs déportés de Luxembourg, et le texte indique que 35 des
déportés ont survécu:
"After these rescue operations the consistory became the
Aeltestenrat der Juden and administered the remaining 850
Jews. Of these, 127
emigrated
in January 1942 and the rest were deported: only 35 of the
latter survived."
(Français: <Depuis de cette action de sauvetage le
consistoire fut transformé en un conseil des anciens pour
administrer les 850 juifs restantes. Des ces juifs
émigraient 127 juifs en 1942, et le reste fut déporté. Du
groupe dernière survivaient seulement 35.>)
(Encyclopaedia Judaica: Luxembourg, tome 11, colonne 591)
Mais le nombre des survivantes peut être plus haut parce que
beaucoup des juifs n'ont plus retourné depuis 1945 mais ont
émigré directement de l'Europe de l'Est aux pays d'outre-mer
resp. au Palestine par de camps DP. Souvent ces survivants
avaient des nouvaux nombres ou fuirent régistrés comme
"crétiens". Aussi manque le nombre combiens des juifs
luxembourgeois ont été détenues et déportés encore en France
après l'occupation de la France du Sud en 1942/1943.
Peut-être c'étaient 30% des réfugiés luxembourgeois en
France.
Émigration de Lübeck
Dans l'article sur Lübeck on a l'indication des chiffres de
la population juive qui expriment clarement le mouvement
d'émigration depuis 1933. En 1913 on avait 700 juifs, en
1937 on avait encore 250 juifs, et la déportation à la fin
fut avec des 85 juifs. Le texte:
"The Jewish population in the city rose from 522 in 1857 to
700 in 1913, but after the advent of the Nazis declined to
250 in 1937. The last 85 Jews were deported to Riga in
1941-42."
(Français: "La population juive de la ville augmentait entre
1857 et 1913 de 522 à 700, mais depuis l'accession au
pouvoir des nazis le nombre se reduisait jusqu'à l'année de
1937 à 350. Les dernières 85 juifs fuirent déportés à Riga
en 1941-1942.")
(Encyclopaedia Judaica, tome 11, colonne 556)
C'est étrange que le mot "émigration" ne paraît pas dans
l'article, apparemment pour camoufler l'émigration.
Émigration de Lunebourg
(Lüneburg)
Dans l'article sur Lunebourg on peut voir le même procès: En
1910 on avait 145 juifs, en 1936 encore 36 juifs, et en 1938
ferme la synagogue, et la déportation consiste à la fin
encore de 11 juifs:
"The Jewish population increased slowly from 27 in 1811 to
145 in 1910. Between 1927 and 1930 the large synagogue,
consecrated in 1894, was repeatedly desecrated and bombed by
local anti-Semites and Nazis. By Oct. 1, 1936, only 36 Jews
remained and on Oct. 30, 1938, final services were conducted
in the synagogue which was then closed down. During World
War II, 11 Jews were deported and lost their lives."
(Français: "La population juive augementait entre 1811 et
1910 de 27 à 145 personnes. Entre 1927 et 1930 la synagogue
fut crevassée et bombardée par des antisémites et des nazis
établis. Jusqu'au premier octobre de 1936 on avait encore 36
juifs dans la ville, et le 30 octobre 1938 fut le dernier
service religieuse dans la synagogue. Durant la Seconde
Guerre mondiale 11 juifs fuirent déportés qui perdaient leur
vie.")
(Encyclopaedia Judaica, tome 11, colonne 558)
Quand no parle des villes petites on doit considérer que
probablement pas toutes les personnes migrés ont émigrés,
mais: un part des personnes parties a émigré, un autre part
fut déplacé par force dans des grandes villes, et on avait
aussi des cas des juifs en prison. Mais c'est sûr que une
part a émigré. Aussi la frase que les 11 personnes déportés
touts ont perdu sa vie peut être injuste parce que une
personne qui ne retourne pas ne doit pas être morte mais il
est possible que les personnes n'ont pas rentré mais ont
émigré directement après la guerre sans rentrer dans leur
patrie, dans de camps DP ou de l'Europe de l'Est directement
par le mer Noir aux pays d'outre-mer ou au Palestine,
souvent avec des nouveaux noms ou comme "crétiens".
Mayence (Mainz)
Les indications juifs sur la population dans l'Encyclopaedia
Judaica pour Mayence confirment aussi que le nombre des
juifs s'est réduit drastiquement entre 1933 et 1939, bien
qu'on doive constater un afflux du paysage. Cet afflux est
partiellement un déplacement de force des villes petites.
C'est-à-dire que l'émigration avait des dimensions énormes.
(Encyclopaedia Judaica, tome 11, colonnes 791-792)
Mannheim
Aussi pour Mannheim on a des chiffres de l'Encyclopaedia
Judaica qui indiquent que c'est possible à présumer une
grande émigration:
1931: 6402 juifs
1933: 6400 juifs
1938: 3000 juifs.
(Encyclopaedia Judaica, tome 11, colonnes 887-888)
Marbourg (Marburg)
En Marbourg le nombre des juifs se réduisait drastiquement
entre 1933 et 1939. Les déportations fuirent en 1941 et en
1942, et après l'année 1948 on avait de nouveau une onde
d'émigrations, probablement par le nouveau Israël de Herzl.
Le texte de l'Encyclopaedia Judaica:
"In 1933 there were about 325 Jews in Marburg. On Nov. 10,
1938, the synagogue was burned down. By May 17, 1939, only
143 Jews remained; ten survived the war, while the rest left
or were deported in 1941-1942. About 300 Jews lived in
Marburg between 1945 and 1948, but by 1959 only 50
remained."
(Français: "En 1933 on avait 325 juifs en Marbourg. Le 10 de
novembre 1938 fut incendié la synagogue. Le 17 de may 1939
on avait encore 143 juifs; 10 survivaient la guerre, le
reste restait en ville ou fut déporté en 1941 et 1942. Entre
1945 et 1948 environ des 300 juifs vivaient en Marbourg,
mais en 1959 fuirent seulement 50.")
(Encyclopaedia Judaica, tome 11, colonne 941)
Peut-être l'indication de seulement 10 survivants de la
guerre n'est pas tout juste parce que quelques survivants
peut-être ont émigré après 1945 directement vers des pays en
outre-mer ou vers Palestine, passant des camps DP ou de
l'Europe de l'Est directement par le mer Noir, souvent avec
des nouveaux noms ou comme "crétiens".
Mecklenburg
L'article sur Meckenbourg cache toutes les mouvement
d'émigrations entre 1933 et 1945.
Minden (Allemagne de
l'Ouest)
Les chiffres sur les juifs de Minden entre 1933 et 1939
suggèrent vraiment une émigration. Mais c'est une ville
petite, et ainsi on doit aussi admettre un changement des
juifs de la petite cité vers des grandes villes.
1787: 65 juifs
1810: 81 juifs
1840: 193 juifs
1880: 267 juifs
1933: 192 juifs
1939: 107 juifs
Le texte:
"After emancipation, when Minden reverted to Prussia, the
small community grew steadily, from 65 in 1787 to 81 in
1810, 193 in 1840, and 267 in 1880. Their numbers later
decreased to 192 in 1933 and 107 in 1939, when there were
228 Jews in the district of Minden. During World War II, 179
Jews were deported from the town and district. The Memorbuch
of the synagogue from the 17th and 18th centuries has been
preserved. The synagogue built in 1867 was destroyed in
1938. After World War II a small community was reconstituted
which had 44 members."
(Français: "Après l'émencipation - quand Minden fut prusse -
la paroisse juive augmentait toujours. On aveit 65 juifs ens
1787, 81 en 1810, 193 en 1840, et 267 en 1880. Les chiffres
suivantes baissaient à 193 en 1933 et à 107 en 1939. Fuirent
encore 228 juifs dans le district administratif de Minden.
Durant la Seconde Guerre mondiale on déportait des 179 juifs
de la ville et du district administratif. Le livre de la
memoire ("Memorbuch") de la synagogue du 17me et 18me siècle
fut sauvé. La synagogue de l'année 1867 fut détruite en
1938. Après la Seconde Guerre mondiale fut installée une
petite paroisse de 44 membres.")
(Encyclopaedia Judaica: Minden; tome 12, colonne 4)
Munich (München)
L'article sur Munich présente des chiffres clairs sur la
paroisse juive:
1910: 11.000 juifs
1933: 10.000 juifs
1933-1938: émigration de 3574 juifs
1939-1945: déportation de 4500 juifs
1945-1950: 120.000 juifs passent Munich comme réfugiers et
personnes déplacés (PD) passant pour racist Israël de Herzl.
Le texte:
"By 1910 20% of Bavarian Jews lived in the capital (11,000).
There was also a steady immigration of Jews from Eastern
Europe, mainly from Galicia, which lasted up to World War I.
[[...]]
In the postwar years of economic and political upheaval,
Munich was a hotbed of anti-Semitic activity and the cradle
of the *Nazi party; many Jews from Eastern Europe were
forced to leave Munich. Sporadic anti-Semitic outbursts
characterized the years till the Nazi seizure of power in
1933, when Rheinhold *Heydrich and Heinrich *Himmler took
control of the police; the first concentration camp,
*Dachau, was erected near Munich. At the time the community
numbered 10,000 persons, including an independent Orthodox
community, and many cultural, social, and charitable
organizations. Munich Jewry was subjected to particularly
vicious and continuous acts of desecration, discrimination,
terror and *boycotts, but responded with a Jewish cultural
and religious revival.
Between 1933 and May 15, 1938, 3,574 Jews left Munich. On
July 8, 1938, the main synagogue was torn down on Hitler's
express orders. During the Kristallnacht two synagogues were
burned down, 1,000 male Jews were arrested and interned in
Dachau, and one was murdered. The communal center was
completely ransacked.
During the war a total of 4,500 Jews were deported from
Munich (3,000 of them to *Theresienstadt); only about 300
returned; 160 managed to outlive the war in Munich.
A new community was founded in 1945 by former concentration
camp inmates, refugees, displaced persons, and local Jews.
In the following five years about 120,000 Jews, refugees,
and displaced persons passed through Munich on their way to
Israel. The community increased from 1,800 persons in 1952
to 3,522 in January 1970 (70% of Bavarian Jewry)."
(Français: "Jusqu'à l'année de 1910 20% des juifs bavarois
vivaient dans la capitale (11.000). En même temps on avait
un afflux constant de l'Europe de l'Est, surtout de la
Galicie. Cet afflux durait jusqu'à la Première Guerre
mondiale.
Pendant les années après la guerre et durant les difficultés
économiques et politiques Munich fut en centre de l'activité
antisémite et fut le berceau de la *partie Nazi; beaucoup
des juifs de l'Europe de l'Est furent forcés à quitter
Munich. Pendant ces années des sursauts spradiques
anti-Sémites étaients caracteristique, jusqu'à l'accession
au pouvoir des nazis en 1933. Maintenant Rheinhold *Heydrich
et Heinrich *Himmler controlaient la police; on ouvrait le
premier camp de concentration, *Dachau, fut ouvert chez
Munich. En ce temps la paroisse juive fut de 10.000
personnes, inclusivement une paroisse indépendente
orthodoxe, et beaucoup des organisations culturelles et
sociales de bienfaisance. Le judaïsme de Munich fut le but
de l'envie et de la profanation, discrimination, terreur et
des *boycotts. Mais on avait aussi une réponse juive
culturelle et religieuse.
Entre 1933 et le 15 de may 1938 furent 3574 juifs qui
quittaient Munich. Le 8 de juillet 1938 fut Hitler qui
ordonnait explécitement la déstruction de la synagogue
principale. Durant la Nuit de Cristal furent brûlés deux
autres synagogues, 1000 juifs furent détenues en Dachau, et
un juif fut assassiné. Le centre de paroisse fut pillé
totalement.
Durant la guerre des 4500 juifs furent déportés de Munich
(3000 furent déportés à *Theresienstadt); seulement plus ou
moins des 300 rentraients; 160 juifs succédaient survivre en
Munich.
En 1945 fut installé une autre paroisse, avec des détenues
anciens des camps de concentrations, avec des réfugiés, avec
des personnes déplacées (Displaced Persons, DPs), et avec
des juifs établis. Durant les cinq années suivantes
passaient plus ou moins des 120.000 juifs par Munich,
réfugiés et des personnes déplacées (Displaced Persons)
passant à Israël. La paroisse de Munich augmentait de 1800
personnes en 1952 à 3522 personnes en janvier 1970 (furent
70% des juifs bavarois)."
(Encyclopaedia Judaica: Munich; tome 12, colonne 523)
Münster
Des chiffres présentés de Münster on peut conclure qu'il y
avait une grande émigration entre 1933 et 1939:
"During the Nazi era the community was reduced from 558 Jews
(0.4% of the population) in 1933 to 308 (0.2%) in 1939. The
first deportation from Muenster city and district (to Riga)
took place in December 1941 (403 persons); in 1942 the last
large-scale transport went eastward, followed by individual
deportations in 1943 and 1944. After World War II a new
congregation was founded, which included besides Muenster
the Jews of Ahaus, Beckum, Borken, Burgsteinfurt, Coesfeld.
This new community of Muenster numbered 142 members in
1970."
(Français: "Durant l'époque nazi la paroisse juive se
réduisait de 558 juifs en 1933 (0,4% de la population) à 308
en 1939 (0,2% de la population). La première déportation de
la ville et du district administratif de Münster (à Riga)
fut en décembre 1941 (403 personnes); en 1942 fut le dernier
grand transport vers l'est, suivé par transports séparés en
1943 et 1944. Après la Seconde Guerre mondiale fut installé
une nouvelle paroisse qui consistait en juifs de Münster,
mais aussi de Ahaus, Beckum Borken, Burgsteinfurt et
Coesfeld. En 1970 cette nouvelle paroisse de Münster
comprenait 142 membres.")
(Encyclopaedia Judaica: Muenster; tome 12, colonne 505)
Niederstetten
Le texte de l'Encyclopaedia Judaica sur Niederstetten
indique clarement l'émigration d'un grand part des juifs
avant 1942:
"The community numbered 215 in 1854, decreased to 163 in
1900, and to 81 in 1933. In the 20th century Jews were
active as wholesale merchants in leather and wine, and as
shopkeepers. They also engaged in textile manufacturing and
banking. They were active in political and cultural
life of the town, and one Jew was a member of the municipal
council during Weimar Republic. In 1933 Jewish merchants
were subject to the Nazi *boycott and some leaders of the
community were physically assaulted. This resulted in
large-scale Jewish
emigration.
During the general destruction on Kristallnacht in 1938, the
synagogue itself was preserved, but eight Jewishmen were
sent to concentration camps. Between 1941 and 1942, 42 Jews
were deported to extermination camps, never to return.
In early 1945 the synagogue was destroyed as a result of the
war. The ritual objects of the community were saved,
however, and turned over to a U.S. army chaplain when the
war ended. All that was left in 1970 of a once active
community in Niederstetten was the Jewish cemetery."
(Français: "La paroisse tenait 215 membres en 1854. Puis le
nombre des membres baissait jusqu'à l'année 1900 à 163, et
en 1933 baissait à 81. Pendant le 20me siècle les juifs
furent actives comme grossistes des articles de maroquinerie
et du vin, et comme gérant, aussi dans l'industrie textile
et dans le système bancaire. Furent actives dans la vie
politique et culturelle de la ville, et un juif fut membre
du parlament de Weimar de la République de Weimar. En 1933
les négociants juifs furents le but du *boykott nazi et
certaines membres dirigeants de la paroisse juive furent
attaqués corporellement. Ces faits provoqaient une grande
émigration juive.
Durant les grandes déstructions pendant la Nuit de Cristal
en 1938 la synagogue ne fut pas attaquée, mais huit juifs
furent détenus dans un camp de concentration. Entre 1941 et
1942 42 juifs furents déportés dans des camps
d'exterminations et ne rentraient pas.
En printemps de 1945 la synagogue fut détruite par des
évènements de la guerre. Mais les objets rituels de la
paroisse furents sauvés et rendu à l'armée des E.U.A. après
la guerre. La seule chose qui restait de la paroisse active
en 1970 c'était le cimitière juive.")
(Encyclopaedia Judaica: Niederstetten; tome 12, col. 1150)
C'est bien possible que quelques des 39 juifs émigrés entre
1933 et 1941 ont seulement arrivés en Hollande, et puis
furents déportés encore, ou se sauvaient en Suisse mais
furent transférés a l'SS. La synagogue fut détruite
seulement en 1945 par "des évènements de la guerre" resp. ça
veut dire que probablement les "alliés" ont bombardé et
détruit la synagogue. Probablement pas touts les déportés
ont mouru parce que quelques uns des survivants ont
peut-être émigré directement vers les pays d'outre-mer ou
vers Palestine, passant des camps des personnes déplacés
(Displaced Persons, DPs) ou ont directement émigrés de
l'Europe de l'Est vers le mer Noir, souvent avec des nouvaux
noms ou comme "crétiens". Ou furents déportés en plus vers
l'Union Soviétique. Il paraît que après 1945 Niederstetten
on installait plus une grande paroisse juive, ou si l'on
installait une paroisse juive cette paroisse fut désentégré
dès l'euphorie d'Israël après 1948 parce que les juifs
survivants émigraients vers Palestine. On peut observes
cette grande migration juive vers la région de guerre du
Proche-Orient dès 1948 en tout le monde. Paraît étrange que
l'article ne dit rien de cette migration. C'est pourquoi
l'on avait plus des juifs à Niederstetten en 1970.
Nordhausen
L'article sur Nordhausen mentionne explicitement
l'émigration juive de 1933 à 1939:
"In 1925 the community numbered 438, in 1933 it had 394
members, five cultural and philanthropic organizations, and
a religions school. In 1939, under the pressure of Nazi
persecution and consequent
emigration,
the number of Jews declined to 128, and the community came
to an end during World War II."
(Français: "En 1925 la paroisse consistait en 438 membres,
en 1933 furents 394, cinq organisations culturelles et
philantropes, et une école religieuse. Après pression par la
persecution nazi et après la émigration le nombre des juifs
se réduisait jusqu'à l'année 1939 à 128, et durant la
Seconde Guerre Mondiale la paroisse fut liquidé.")
(Encyclopaedia Judaica: Nordhausen, tome 12, colonne 1215)
Aussi pour Nordhausen on doit considérer les connexions pour
des petites villes: Probablement pas toutes les personnes
qui ont quité la ville ont émigré, mais: une part des gens a
émigré, une autre part fut transféré par force en autres
villes, et quelques juifs aussi furents en prison. Mais
c'est sûr qu'il y avait partialement une émigration. Une
petite part des émigrés seulement arrivait dans les pays
voisins et fut encore déportée.
Nördlingen
Le texte de l'Encyclopaedia Judaica indique:
1899: 489 juifs
1913: 314 juifs
16-6-1933: 186 juifs
1933-1942: 145 juifs quittent la ville
dès 1942: déportation des juifs restantes: 41
"A community with 25 families was organized in 1870,
dedicated a new synagogue in 1885, and formed a hevra
kaddisha [[jüdische Bestattungsorganisation]] in 1898. It
numbered 489 persons in 1899, and 314 (3.8% of the total) in
1913. By June 16, 1933, only 186 remained; 145 of them left
before 1942, when the remnants of the Jewish community were
deported. The mayor of the city prevented the destruction of
the synagogue in 1938, and in 1952 it was sold to a
Protestant group as a community center."
(Français: "En 1870 fut organisé une paroisse avec des 25
familles. En 1885 fut inaugurée la synagogue, et en 1898 fut
installé une hevra kaddisha (organisation d'enterrement
juive). En 1899 la paroisse consistait en 489 personnes, en
1913 furents 314 (3,8% de la population totale). Jusqu'au 16
juin 1933 restaient 186; de ces 186 quittaient 145 la ville
jusqu'à l'année 1942, et les juifs restantes furent
déportés. En 1938 le maire de la ville sauvait la synagogue
de la déstruction, et en 1952 la synagogue fut vendu à un
groupe des protéstants.")
(Encyclopaedia Judaica: Noerdlingen; tome 12, col. 1206)
Alors de Nördlingen même furent déportés des 41 juifs. C'est
possible que una part des gens qui avaient quitté la ville
pour vivre dans des grandesvilles, aussi partiallement
furent déportés quand il ne fut pas possible à organiser
l'émigration. La synagogue de Nördlingen ne fut pas
détruite.
Nuremberg (Nürnberg)
Les chiffres juifs sur Nuremberg indiquents clarement qu'il
y avait une grande onde d'émigration entre 1933 et 1939:
1933: 9000 juifs
1939: 2611 juifs.
Le texte:
"The Jewish population of Nuremberg increased from 11 in
1825, to 219 in 1858, and 3,032 in 1880. It continued to
rise from 5,956 in 1900 to 8,603 in 1915, and 9,000 in 1933,
making the second largest community in Bavaria. [[...]]
In 1939 only 2,611 Jews remained. A total of 1,601 were
deported during the war (Dr. Benno Martin, head of the
police, rescued many Jews from death and alleviated the
suffering of others); the three main transports were 512 to
*Riga on Nov. 29, 1941 (16 survived), 426 to *Izbica on
March 25, 1942 (none survived), and 533 to *Theresienstadt
on Sept. 10, 1942 (27 survived).
About 65 of the former inhabitants returned after the war
and a community was reorganized, which numbered 181 in 1952
and 290 in 1970."
(Français: "La population juive de Nuremberg consistait en
11 membres en 1925, en 1858 furent 219, et en 1880 furents
3032. La paroisse augmentait toujours, et en 1900 furents
5956, et en 1915 furent 8603, et en 1933 furent 9000. Fut la
paroisse juive la deuxième plus important de la Bavière.
[[...]]
En 1939 restaient encore des 2611. Durant la guerre 1601
furent déportés (Dr. Benno Martin, gérant de la police,
sauvait beaucoup des juifs et consolait le chagrain des
autres); furent trois transports principals à *Riga le 29 de
novembre 1941 avec 512 personnes (16 survivants), à *Izbica
le 25 de mars 1942 avec 426 personnes (pas de survivants),
et à *Theresienstadt le 10 de séptembre de 1942 avec 533
personnes (27 survivants).
Après la guerre rentraient plus ou moins des 65 anciens
habitants et installaient une nouvelle paroisse, en 1952
avec 181 membres, et en 1970 avec 290 membres.")
(Encyclopaedia Judaica: Nuremberg, tome 12, colonne 1279)
Oppenheim
Aussi les chiffres sur Oppenheim sont un indice pour un
mouvement d'émigration entre 1933 à 1939:
"The community numbered 20 families in 1807, 257 in 1872,
189 in 1880, and 56 in 1933. Of the 17 Jews who remained
during World War II, 16 were deported. In 1970 no Jews lived
in Oppenheim."
(Français: "En 1807 la paroisse consistait en 20 familles.
En 1872 furent des 257, en 1880 des 189, et en 1933 des 56
membres. Durant la Seconde Guerre mondiale restaient 17
juifs, de lesquelles 16 furent déportés. En 1970 ne vivaient
plus des juifs à Oppenheim.")
(Encyclopaedia Judaica: Oppenheim, tome 12, colonne 1418)
C'est bien possible que une part des migrants restaient dans
les grandes villes de l'Allemagne, ou que les émigrants
arrivaients seulement les pays voisins et furent encore
déportés.
Osnabrück
L'article sur Osnabrück indique clarement l'émigration avant
1939:
"The community subsequently grew from 138 in 1871 to 379 in
1880 and 450 in 1925. A large synagogue was consecrated for
the community of wealthy merchants in 1906. Anti-semitic
movements flourished in Osnabrueck and in 1927 the synagogue
and cemetery were desecrated. Between 1933 and 1938 about
350 Jews
emigrated;
on May 17, 1939, only 119 remained. On *Kristallnacht the
synagogue was set on fire and shops and homes were looted.
During the Holocaust 102 former citizens of Osnabrueck lost
their lives. During the war 400 Jewish Yugoslav officers
were placed in a special P.O.W. camp in Osnabrueck. In
August 1945 services were renewed in a prayer room. In 1969
a synagogue and community center for the community of 69
persons were consecrated."
(Français: "La paroisse augmentait toujours de 1871 avec des
138 membres à 379 membres en 1880 et à 450 membres en 1925.
Dès 1906 la paroisse disposait d'une grande synagogue
financié par des marchants riches. En Osnabück fut un
mouvement anti-Sémite et en 1927 la synagogue et le
cimetière furent profanés. Entre 1933 et 1938 furent plus ou
moins 350 juifs qui émigraient; le 17 de mai de 1939
restaient encore 119 juifs. Durant la *Nuit de Cristal fut
incendié la synagogue et furent pillés des magasins et des
appartements. Durant la persécution des juifs des 102 juifs
d'Osnabrück perdaient leur vie. Durant la guerre 400
officiers juif-jugoslaves furent stationnés dans un camp
spécial de guerre à Osnabrück. En août 1945 le service
rituel juive fut réinstallé dans une pièce rituelle. En 1969
la paroisse consistait en 69 membres et pouvait inaugurer
une nouvelle synagogue avec un centre communal.")
(Encyclopaedia Judaica: Osnabrueck; tome 12, colonne 1501)
Peut-être que les indications des morts durant la guerre no
sont pas tout juste parce que après 1945 quelques survivants
ont émigrés directement vers des pays d'outre-mer ou vers
Palestine, passant des camps des personnes déplacés
(Displaced Persons, DPs) ou émigrant directement de l'Europe
de l'Est passant le mer Noir, souvent avec des nouveaux
nombs ou comme "crétiens". C'est aussi possible qu'une part
des émigrés seulement arrivait dans des pays voisins et
furent déportés encore.
Mouvement d'exode en
Angleterre quittant Londres - et des réfugiés juives des
territoires nazis
En Angleterre les juifs devaient fuire de Londres vers le
paysage pour ne pas être touchés par des bombardements
allemands.
Lincoln
L'article concernant la ville de Lincoln dit le suivant:
"A small Jewish community existed again in Lincoln at the
beginning of the 19th century. There was a small community
of evacuees during World War II."
(Français: "Au commencement du 19me siècle on installait une
petite paroisse juive à Lincoln. Durant la Seconde Guerre
mondiale s'y ajoutait une petite paroisse des juifs
évacués.")
(Encyclopaedia Judaica: Lincoln, tome 11, colonne 257)
Ces "évacués" probablement sont du Londres bombardé.
Nottingham
Le texte indique des réfugiés juives des territoires nazis:
"By 1880 there were about 50 Jewish residents, though a
synagogue was not built until 1890. The Nottingham
lace-curtain industry was founded by a Jewish immigrant from
Germany, Lewis Heymann. By 1939, the community had increased
to 180, but World War II brought an influx of of new
residents."
(Français: "Jusqu'à l'année 1880 furent 50 habitant juifs,
mais l'on avait pas encore construit une synagogue jusqu'à
l'année 1890. L'industrie de voilage à Nottingham fut
installé par un émigrant juif de l'Allemagne, Lewis Heymann.
Jusqu'à l'année 1939 la paroisse augmentait son nombre à des
180 membres, et durant la Seconde Guerre mondiale fut un
autre afflux de nouveaux résidents.")
(Encyclopaedia Judaica: Nottingham, tome 12, colonne 1234)
Au total fut un afflux entre 1933 et 1939 déjà, et entre
1940 et 1945 autres réfugiés juifs trouvaient refuge à
Nottingham. Mais Nottingham fut bobardé par la Luftwaffe
allemande, et on peut admettre que quelques juifs ont mouru
dans des bombardements allemands. Il paraît étrange que les
bombardements ne sont pas mentionnés dans l'article.
France
Dans l'article sur Lyon de l'Encyclopaedia Judaica est
indiqué que Lyon fut déclaré comme "Ville libre" et fut un
centre du zionisme raciste et de la résistance.
Dans l'article sur Limoges de l'Encyclopaedia Judaica est
indiqué que Limoges fut un centre des réfugiés juifs de
l'Alsace.
Marceau, Marcel
Durant la Seconde Guerre mondiale le bouffon des années
ultérieures Marcel Marceau aidait aux enfants juifs arriver
en Suisse:
"Marceau worked for the French underground, helping Jewish
children to cross the border into Switzerland."
(Français: "Marceau travaillait pour la résistance et aidait
aux enfants juifs croiser la frontière de la Suisse.")
(Encyclopaedia Judaica: Marceau, Marcel; tome 11, colonne
941)
La fuite vers le Sud de la
France: Montpellier
La grande fuite vers le Sud est aussi mentionnée dans
l'article sur Montpellier, mais les émigrations de
Montpelier vers les pays d'outre-mer et les déportations
éventuelles en 1942 et 1943 manquent dans l'article:
"Holocaust and Contemporary Periods. After the 1940
armistice, Montpellier, which was in the unoccupied zone,
became a center for Jewish refugees from the occupied part
of France. After the latter was occupied by the Germans,
Montpellier became an important relaying station for the
Jewish partisans. After the liberation the community was
reorganized and by 1960 had 600 members. The arrival of Jews
from North Africa increased the number to 2,000 in 1969."
(Français: "Temps de l'holocauste et temps contemporain:
Après l'armistice de 1940 Montpellier se trouvait dans la
zone non ocupée et fut en centre pour des réfugiés juifs des
territoires ocupées français. Après l'occupation de la zone
Monpellier fut un relais important pour les partisans juifs.
Après la libératinon la paroisse fut réorganisée et en 1960
avait des 600 membres. Après l'arrivée des juifs du nord de
l'Afrique le membre augmentait jusqu'à l'année de 1969 à
2000."
(Encyclopaedia Judaica: Montpellier, tome 12, colonne 283)
La fuite vers le Sud de la
France quittant Mulhouse
L'article concernant Mulhouse indique clarement une grande
fuite vers le Sud de la France durant la Bataille de France:
"Holocaust and Contemporary Period: Under German occupation
in World War II the Jews who had not managed to escape were
expelled on July 16, 1940, along with the Jews in the rest
of Alsace and Moselle. The synagogue which had been
partially damaged was saved from total destruction when the
edifice was requisitioned by the municipal theater. In 1970
Mulhouse had 1,800 Jewish inhabitants and a well-organized
and active Jewish community."
(Français: "Temps de l'holocauste et temps contemporain:
Sous l'occupation allemande durant la Seconde Guerre
mondiale les juifs qui n'avaient pas réussis à fuire furent
expulsés le 16 de juillet - en coordination des juifs de
tout l'Alsace et du département de Moselle. La synagogue
était partiallement détruite, mais fut sauvé de la
déstrution totale. Dans le bâtiment fut installé le théâtre
communal. En 1970 Mulhouse tenait 1800 habitants juives, une
paroisse juive bien organisée et active."
(Encyclopaedia Judaica: Mulhouse; tome 12, colonne 518)
Malheureusement no a pas des chiffres précises pour voir
combiens des juifs ont réussi à fuire vers le Sud de la
France sous Pétain, et combiens furent expulsés. Aussi le
chiffre des émigrés vers des pays d'outre-mer manque, et
aussi un chiffre de déportés après l'occupation de la France
de Pétain en 1942/43. Et il manque aussi un chiffre de
l'afflux des juifs du nord de l'Afrique pendant les années
1960s à cause des indépendances et à cause de la question de
passeport - être Algérien ou Français.
La fuite vers le Sud de la
France: Nîmes
Nîmes se trouve dans le Sud de la France, et en 1940
arrivaient quelques familles juives du Nord de la France. Le
texte:
"From the close of the 19th century, the community
diminished steadily in number. Although 40 families were
recorded in 1941, some of these were refugees from the
interior of France. In 1970 the community of 1,200 persons,
mainly of North African origin, possessed a synagogue and a
community center."
(Français: "Dès la fin du 19me ciècle la paroisse se
réduisait toujours. Mais en 1941 furent régistré autrement
des 40 familles, et quelques unes furent réfugiérs de la
France Centrale. En 1970 la paroisse consistait en 1200
personnes, surtout de l'origine nord-africaine. La paroisse
disposait d'une synagogue et d'un centre communal.")
(Encyclopaedia Judaica: Nîmes, tome 12, colonne 1165-1166)
Ici manquent quelques indications, surtout des chiffres
précises pour les années 1933 et 1940. Le chiffre de 40
familles pour 1941 paraît très petit considérant la Grande
Fuite vers le Sud de 1940. Aussi manquent les déportations
de 1942/43 dans l'article. En 1945 rentraient quelques juifs
et ont réinstallé la paroisse. Dès des années 1960s fut un
afflux des juifs du nord de l'Afrique après les
indépendances des pays nord-africains parce que beaucoup des
juifs voulaient garder le passeport français - et pour ça
ont quitté l'Afrique du Nord.
La fuite vers le Sud de la
France: Nice
L'article concernant Nice indique clarement qu'on avait
beaucoup des réfugiérs juifs après la fuite vers le Sud, et
survivaient sous l'occupation italienne, et après
l'occupation nazi furent des déportations en 1943 et 1944.
En même temps la résistance civile organisait des cachettes
ou la fuite. Malheureusement l'article ne présente pas des
chiffres précises. Aussi manque l'indication combiens de
juifs ont réussi à émigrer vers des pays d'outre-mer. C'est
étrange. Le texte:
"During World War II Nice came under Italian occupation
which was for less severe than the German. Therefore
thousands of Jews took refuge there. For a while the city
became an important center for various Jewish organizations,
especially after the landing of the Allies in North Africa
(November 1942). However, when the Italians signed the
armistice with the Allies, German troops invaded the former
Italian zone (Sept. 8, 1943) and initiated brutal raids.
Brunner, the SS official for Jewish affairs, was placed at
the head of units formed to search out Jews. Within five
months, 5,000 Jews were caught and deported [[with the help
of French Railway SNCF and French Police]]. A great number
of others were martyred in Nice itself. The courage
displayed by resistance and Jewish youth movements, however,
along with the sympathy of the vast majority of the
population and clergy, helped save thousands who were either
hidden or helped to escape.
After the liberation several hundred Jews, including
original inhabitants of Nice and refugees, reestablished the
community. With the influx of Jews from North Africa in the
1960s, the Jewish population in Nice and the vicinity
increased from 2,000 to 20,000 by 1969."
(Français: "Durant la Seconde Guerre mondiale Nice fut sous
l'occupation italienne que n'était pas si grave comme la
occupation allemande. C'est pourqui des milliers de juifs
arrivaient à Nice comme des réfugiérs. Pendant un certain
temps la ville se convertait dans une centre importante pour
des divers organisations juives, spécialement après
l'arrivée des alliés en Afrique du Nord (November 1942).
Mais après l'armistice des italiens avec les alliérs, les
troupes allemandes occuppaient la zone ancienne italienne (8
de séptembre de 1943) et maintenant initiaient des rafles
dures. Brunner, un employé de l'SS pour des affaires juives,
fut la figure chef des groupes qui cherchaient les juifs. En
cinq mois furent détenus et déportés 5000 juifs [[avec
l'aide des Chemins de Fer de France, SNCF, et avec l'aide de
la police française]]. Un grand nombre d'autres juifs fut
torturé. Mais le courage de la résistance et des mouvements
de jeunnesse juifs collaborait avec la compassion de la
grande majorité de la population et du clergé, et ainsi on
pouvait aider à des milliers des juifs dans des cachettes,
ou l'on aidait pour la fuite.
Après de la libération fut installé une nouvelle paroisse
avec quelques centaines de juifs, furent des habitant
originaux de Nice et avec des réfugiérs. Pendant les années
1960s on avait un afflux de l'Afrique du Nord et la
population juive de nice et de ses environs augmentait de
2000 à 20.000 en 1969.")
(Encyclopaedia Judaica: Nice, tome 12, colonne 1136)
Italie
Réfugiérs juifs en Italie:
Milan
L'Encyclopaedia Judaica écrit concernant Milan que la
ville était un grand centre des réfugiérs entre 1933 et
1945, et après 1945 il y avait même des juifs qui rentraient
d'Israël à Milan:
"In 1900, 2,000 Jews resided there and in 1931, 6,490.
[A.MIL.]
Holocaust Period. After Hitler assumed power many refugees
arrived from Central and Eastern European countries; this
flow continued illegally during the first year of war.
[[During the German occupation 1943-1944]] about 800 Jews
were deported from Milan during the war. Many were captured
and killed by the Germans [[and the right-wing Italian
police guards]] in the towers and villages where they had
taken refuge. During the autumn of 1943, the Germans carried
out an anti-Jewish raid, in the course of which the
community synagogue was destroyed.
Contemporary Period. At the end of the war, 4,484 Jews were
living in Milan and were joined temporarily by many refugees
from camps in Lombardy. A number of Jewish immigrants came
to Italy after 1949 from Egypt and, to a lesser degree, from
other Arab countries; 4% came from Israel."
(Français: "En 1900, on aveit 2000 juifs, et en 1931, on
avait 6490. [A.MIL.]
Temps du holocauste. Après l'accession au pouvoir de Hitler
arrivaient beaucoup des réfugiérs à Milan de l'Europe
Centrale et de l'Europe de l'Est; cet afflux continuait
aussi pendant la première année de la guerre. Plus ou moins
des 800 juifs furent [[durant la ocupation allemande entre
1943 et 1945]] déportés de Milan pendant la guerre. Beaucoup
furent détenus par les allemands [[et par les gardes
policières italiennes droites]], dans des tours et dans des
villages, ou l'on les avait cachés. Durant l'automne de 1943
les allemands [[en collaboration avec des gardes
italiennes]] exécutaient une rafle anti-juive durant
laquelle aussi furent détruites des synagogues des
paroisses.
Temps contemporaine: Á la fin de la guerre vivaient 4484
juifs en Milan, et additionellement il y avait beaucoup des
réfugiérs provisoires des camps dans la Lombardie. Dès 1949
un nombre des immigrants juifs arrivait l'Italie. C'étaient
des juifs de lÉgypte et des parts petites des pays arabes;
4% venaient d'Israël.")
(Encyclopaedia Judaica: Milan; tome 11, colonnes 1545-1546)
Réfugiérs juifs de 1933 à
1945 en Espagne et en Portugal et en "Amérique" du Sud
L'article sur Madrid indique clarement des réfugiérs de
l'Europe centrale:
"In the early 1930s there was an addition of refugees from
Nazi Germany. During the Spanish Civil War, the community
underwent much suffering and most of its members dispersed."
(Français: "Pendant les premières années 1930s arrivaient
plus des réfugiérs de l'Allemagne nazi. Durant la guerre
civile espagnole la paroisse juive souffrait beaucoup et la
plupart des juifs dispersait.")
(Encyclopaedia Judaica, tome 11, colonne 684)
Aussi dans l'article sur Lisbonne il y a clarement
l'indication des émigrés juifs, mais le chiffre de 45.000
semble très petite considérant que la guerre durait 5 1/2
années:
"During World War II, about 45,000 refugees from Nazi
persecution arrived in Portugal, and passed mainly through
Lisbon, on their way to the free world. In Lisbon they were
assisted by a relief committee headed by M. Bensabat
*Amzalak and A.D. Esagny. The Jews of Lisbon numbered 400 in
1947 and 2,000 in 1970."
(Français: "Durant la Seconde Guerre mondiale arrivaient
environs des 45.000 réfugiérs au Portugal par la persécution
nazi, principalement passant Lisbonne, passant vers le monde
libre. En Lisbonne les réfugiérs furent desservi par un
comité de sauvetage sous le chef de M. Bensabat *Amzalak et
A.D. Esagny. Les juifs de Lisbonne mêmes furent 400
personnes en 1947 encore, et en 1970 furent 2000.")
(Encyclopaedia Judaica, tome 11, colonne 303)
Et aussi pour Lima on trouve des réfugiérs juifs:
"The next mass influx occurred during World War II."
(Français: "Le prochain afflux en masse eu lieu durant la
Seconde Guerre mondiale.")
(Encyclopaedia Judaica, tome 11, colonne 250)
Émigration cachée de
l'Angleterre de Londres et de Liverpool à autres pays
d'outre mer
En revanche il semble très étrange que dans l'articles sur
Liverpool le temps nazi et le temps de la Seconde Guerre
mondiale est totalement escamoté. Liverpool fut un des ports
principaux pour l'émigration vers les "EUA". Ce fait et
absolument caché dans l'Encyclopaedia Judaica.
Et c'est aussi étrange que l'article sur Londres ne
mentionne pas beaucoup des bombardements allemandes, mais
l'article dit seulement que les juifs se dispersaient un peu
plus à la campagne. L'article n'indique pas des chiffres.
Mais les victimes juifs de Londres par les bombardements
allemends va être un nombre d'au moins trois chiffres.
Déportations de Stalin en
1940 et 1941 - et la Grande Fuite de Barbarossa de 1941
vers l'Union Soviétique centrale
Dans l'Encyclopaedia Judaica on ne trouve pas beaucoup des
textes concernant les déportations de Stalin de 1940 et
1941, et l'on ne trouve pas beaucoup de textes concernant la
Grande Fuite de Barbarossa de 1941, parque les villes russes
n'ont pas beaucoup des articles dans ce lexique. Mai on a
par exemple l'article sur Omsk:
"There were 4,389 Jews in the province of Omsk in 1926 and
9,175 Jews in 1959. In 1970 the Jewish population was
estimated at about 10,000."
(Français: "Dans la province de Omsk vivaient en 1926 des
4389 juifs, et en 1959 furent des 9175 juifs. En 1970 on
estimait une population juive de 10.000.")
(Encyclopaedia Judaica: Omsk (Sibérie); tome 12, colonne
1391
Le fait que le nombre des juifs n'a pas réduit par la guerre
mais a augmenté c'est une surprise. Aujourd'hui après la
perestroïka on sait exactement ce qui passait dans l'Union
Soviétique:
-- après ses nouvelles occupations en 1940 Stalin laissait
déporter une part des juifs en 1940 et en 1941 au Sibérie,
aussi des juifs qui avaient arrivé de la Pologne de l'Ouest,
mais qui voulaient garder leur paseport polonait y furent
déportés par iloyalité au état de la'Union Soviétique
-- pendant les mois avant Barbarossa fut organisé un grand
mouvement de fuite sous la gérance de l'Armée Rouge, et dans
cette action se trouvaiet aussi beaucoup des juifs
-- en même temps beaucoup des juifs ont trouvé leur mor dans
l'Arée Rouge
-- en 1942 et en 1943 on avait des déportations clandestines
de l'Europe Centrale à la Russie, et en 1945 ces
déportations furent cachées et le juge disait que ces juifs
furent exterminés sistematiquement par le régime nazi
-- et dès 1948 la Russie installait une politique
anti-sémite sistematique contre touts les juifs parce que
Israël fut un satéllit des "EUA" et pas de l'Union
Soviétique
-- en 1959 on avait un recensement pendent lequel les juifs
pouvaient indiquer leur religion, mais beaucoup des juifs
n'indiquaient pas son religion de peur des répressions, ça
veut dire: le nombre de 9175 est beaucoup trop petit
-- en 1970 on avait un autre recensement, et encore une fois
beaucoup des juifs n'indiquait pas leur religion de peur des
répressions, et les offices juives seulement pouvaient
estimer combiens des juifs vivaient dans la Russie.
Il parait étrange que pas un mot de ces procedures est écrit
dans l'article sur Omsk, et comme ça Stalin est présenté
comme "vinqueur" et pas comme coupable.
Émigration vers les "EUA"
après 1945
Miami
Le journalisme zioniste toujours affirme qu'on avait pas de
migrations vers les "EUA" après 1945. Mais controllant les
articles, ici sur Miami, ces articles indiquent autres
chauses:
1925: 2.000 juifs
1930: 3.500 juifs
1940: 7.500 juifs(Greater Miami), "with the greatest
increase in Miami Beach, where a new congregation was
established"
(Français: "avec l'augmentation plus grande en Miami Beach
ou l'on installait une nouvelle congregation.")
Et dans les années 1960s d'un moment à l'autre on a 60.000
juifs, mais ces 60.000 juifs se referrent seulement à North
et South Miami Beach, que tiennes chaqu'un 30.000 juifs. Le
centre de Miami et l'aglomération sont mentionnées, mais les
nombres manquent. Le texte:
"The trend of younger families during the 1950s and 1960s
was to move to North Miami Beach and Southwest Miami, each
of which numbered about 30,000 Jewish residents. There were
also centers of Jewish population in the city of Miami and
the surrounding communities."
(Français: "On avait un mouvement durant les années 1950s et
1960s que des familles jeunes mouvaient du Miami Beach du
Nord au Miami Beach du Sud. Les deux tenaient environnement
des 30.000 habitants juifs. On avait aussi des centres avec
une population juive en Miami Ville et dans
l'agglomération.")
(Encyclopaedia Judaica, tome 11, colonne 1477-1480)
Los Angeles
Mais Los Angeles fut absolument "inondé" des juifs après
1945, mais l'article ne dit pas exactement qu'il y avait
aussi des réfugiés:
"At the end of World War II 150,000 Jews lived in Greater
Los Angeles, an increase of 20,000 since the war began. The
major growth of the Jewish population in Los Angeles began
after 1945 when thousands of war veterans and others
[[e.g. fugitives]]
moved West with their families. The city's population
multiplied and the Jewish community grew apace. By 1948 the
Jewish population was a quarter of a million, representing
an increase of 2,000 people a month as Jews moved West in
one of the great migrations in Jewish history."
(Français: "Á la fin de la Seconde Guerre mondiale on avait
en Grand Los Angeles des 150.000 juifs, c'étaient des 20.000
plus depuis du commencement de la guerre. L'augmentement
principal de la population juive de Los Angeles commençait
après 1945 quand des 1000ers des anciens combattents et
autres
[[p.e. des réfugiérs]]
mouvaient avec leurs familles vers l'ouest. La poplation
urbaine doublait plusieurs fois et la paroisse juive
augmentait rapidement. En 1948 la population juive
consistait en 250.000 juifs, ça veut dire que l'augmentation
fut de 2000 par mois quand les juifs migraient vers l'ouest.
Cette migration fut une des grandes migrations de l'histoire
juive.")
(Encyclopaedia Judaica, Band 11, Kolonne 501)
Maryland
L'article de l'Encyclopaedia Judaica concernant l'État
Fédéral de l'Est de Maryland indique clarement une
immigration dès 1933 et après 1945:
"The period of the Nazi persecutions and that of post World
War II brought an additional 5,000 Jewish immigrants."
(Français: "On pouvait constater un afflux des 5000
immigrants juives durant le temps de nazi des persécutions
et durant le temps après la Seconde Guerre mondiale.")
(Encyclopaedia Judaica, tome 11, colonnes 1076-1077)
Ce nombre paraît très petit, et il paraît que les immigrants
qui ont seulement passé Maryland ne sont pas mentionnés.
Massachussets
On constate aussi pour l'État Fédéral de Massachussets des
"EUA" une immigration juive massive durant les temps nazis,
avec la capitale de Boston a la côte de l'est. Le texte:
"In 1917 the state's Jewish (col. 1111) population was
190,000; by 1937 it had risen to 263,000, dropping to
223,000 in 1959, and then rising over the following decade."
(col.1112)
(Français: "En 1917 la population juive (col.1111) fut
190.000; jusqu'à l'année augmentait la population juive à
263.000,et baissait jusqu'à l'année de 1959 à 223.000, mais
pendant les années suivantes augmentait une autre fois."
(col.112)
(Encyclopaedia Judaica, tome 11, colonnes 1111-1112)
Ici manquent des dates importantes comme touts les nombres
durant la guerre et durant le temps après la guerre entre
1939 et 1948. On peut admettre que l'immigration augmentait
bien en ce temps encore une fois. Cet article est bien
manipulé pour cacher l'immigration effective. Mais on ne
peut pas nier qu'on avait une immigration pricipale des
juifs venant des territoires nazis.
Nouveau-Londres (New
London, "USA")
Dans cet article on constate des émigrants allemands-juifs
entre 1933 et 1940:
"In 1905 there were 400 Jews in New London. In 1932 the
number had increased to approximately 2,000. By 1940 the
Jewish population was 2,200, augmented by a new group of
Jewish refugees from Nazi Germany."
(Français: "En 1950 on avait 400 juifs à Nouveau-Londres. En
1932 le nombre avait augmenté à environnement 2000. Jusqu'à
l'année de 1940 le nombre augmentai à 2200 par un nouveau
groupe de réfugiérs juifs de l'Allemagne Nazi.")
(Encyclopaedia Judaica, tome 12, colonne 1035)
New York City
Aussi l'article sur New York City indique clarement qu'il y
avait des juifs allemands immigrants entre 1933 et 1937, et
cet afflux continuait jusqu'à l'anné 1950:
1927: 1.765.000 juifs
1937: 2.035.000 juifs
1950: 2.100.000 juifs
"1930-1970. Demography. Following World War I the Jewish
population of New York grew moderately to 1,765,000 in 1927
and 2,035,000 in 1937. It tapered off around 2,100,000 in
1950, and slowly decreased as Jews moved to the suburbs from
the 1950s. By 1960 the Jewish population of the city had
declined to 1,936,000, while that of the metropolitan area
increased to 2,401,600."
(Français: "1930-1970. Démographie. Après la Première Guerre
mondiale la population juive de New York augmentait à
1.765.000 en 1927, et à 2.035.000 en 1937. Fut un maximum en
1950 avec des 2.100.000 juifs, et puis le nombre baissait
quand les juifs cangeaient vers l'aglomération. En 1960 on
avait encore des 1.936.000 juifs dans la ville de New York,
mais dans l'aglomération le nombre augmentait à 2.401.600."
(Encyclopaedia Judaica: New York City; tome 12, colonne
1105)
L'État de New York (New
York State)
Dans cet article concernant l'État de New York est indiqué
une augmentation énorme depuis de 1945, et cette
augmentation surement fut possible seulement avec
l'immigration:
"In 1940, 90% of the state's 2,206,328 (1937 figure) Jews
resided in NY City. However, the next two decades saw a flow
of city dwellers, including a disproportionately large
number of Jews, to the suburbs. In 1940 fewer than 100,000
Jews had lived in all the suburbs, but Nassau alone had
329,000 Jews by 1956 and 372,000 in 1968; Suffolk, 20,000 by
1956 and 42,000 in 1968; and Westchester, 116,900 by 1956
and 131,000 in 1968. The number of permanent Jewish
residents in the upstate resort counties of Sullivan,
Ulster, and Orange did not appreciably increase from 1940."
(Français: "En 1940, 90% des 2.206.328 juifs de l'État de
New York (nombre de 1937) vivaient encore dans la ville de
NY. Mais pendant les deux décennies suivantes beaucoup
changeaient leur domicile vers l'aglomération, et aussi un
grand nombre des juifs. En 1940 vivaient moins des 100.000
juifs dans l'aglomération. Mais en 1956 seulement en Nassau
vivaient 329.000 juifs, et en 1968 furent 372.000; et à
Suffold furents 20.000 en 1956 et 42.000 juifs en 1968; et à
Westchester furent 116.900 en 1956 et 131.000 en 1968. En
revanche le nombre des juifs dans l'arrière-pays de Sullivn,
Ulster et Orange ne changait pas beaucoup depuis 1940.")
(Encyclopaedia Judaica: New York State; tome 12, colonne
1127)
Australie: Melbourne
Pour Melbourne l'Encyclopaedia Judaica indique les nombres
suivantes qui toujours augmentent, et ainsi on peut supposer
une immigration pendant les années depuis la guerre:
1933: 4552 juifs
1947: 7322 juifs
1954 11.915 juifs
(Encyclopaedia Judaica, tome 11, colonnes 1279-1280).
Jusqu'à aujourd'hui (2010) la justice européenne n'accepte
pas l'émigration et les mouvements d'exode comme une part de
la persécution des juifs. Avec ce comportement la justice
commet le désaveu de l'émigration et commet généralement le
désaveu de la persécution des juifs nouvelle selon les
nouvelles dates. Mais l'Encyclopaedia Judaica éxiste déjà
depuis 1971. C'est un scandal.
Même sur des sites de web on peut trouver les grandes
migrations des juifs entre 1933 et 1939. Un exemple est
Hildesheim: On avait env. 500 juifs, et en 1939 on a encore
env. 100 juifs:
<Nach dem 30. Januar 1933 lebten in Hildesheim ca. 500
jüdische Bürger, von denen bis September 1939 etwa 400
Personen auswanderten bzw. abgeschoben wurden.>
(Français: <Après le 30 janvier de 1933 vivaient env. 500
citoyens juifs à Hildesheim. De ces 500 env. 400 personnes
avaient émigrés resp. avaient été expulsés.>)
(http://www.lwg.uni-hannover.de/wiki/Hildesheim_im_Nationalsozialismus_-_Aspekte_der_Stadtgeschichte)
Ainsi on a la question: Combien de temps la justice veut
mentir encore concernant l'émigration de la persécution des
juifs?
36. "Mouvement" des juifs
de l'Europe de Nazi à la Russie 1941-1943
Selon des indications du survivant du goulag, journaliste et
informatique Jurij Below (Frankfort) on organisait un
"mouvement" des juifs entre 1941 et 1943 des millions des
juifs à la Russie par les camps polonais (Sobibor,
Treblinka, Auschwitz) en coordination entre Hitler et
Stalin. Puis Stalin laissait fusiller 1.5 mio. de juifs
comme des "agents". En 1944 les archives étaient confisqués
et cachés parce qu'on voulait protéger Stalin et accuser
seulement l'Allemagne à cause des pertes des juifs.